Dans la région de Kolda (Sud), 57 enfants vivant avec le VIH sont régulièrement suivis par l’Unité de traitement ambulatoire (UTA), une structure de référence pour la prise en charge des personnes atteintes par cette maladie.
Dr Thierno Chérif Sy, coordonnateur régional de la prise en charge du VIH/Sida à Kolda, a révélé ces chiffres lors d’une caravane de presse organisée par l’Association des journalistes en santé, population et développement (AJSPD) en collaboration avec le Conseil national de lutte contre le sida (CNLS).
Selon Dr Sy, " l’UTA de Kolda suit actuellement 1824 patients vivant avec le VIH, répartis comme suit : 1394 femmes régulièrement suivies, 430 hommes, 57 enfants, notamment ceux âgés entre 5 et 10 ans."
A en croire L'Aps, depuis 2006, cette unité s’est imposée comme une référence régionale pour la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, attirant une fréquentation importante.
Le Dr Sy a souligné que l’unité de traitement ambulatoire joue un rôle clé dans la lutte contre la stigmatisation et la discrimination liées à l’infection au VIH. « L’infection à VIH est souvent sujette à la stigmatisation et à la discrimination. Grâce à l’UTA, les patients bénéficient de soins dans un cadre qui garantit leur confidentialité. La population générale y est également prise en charge pour d’autres pathologies, ce qui empêche de deviner la nature des traitements prodigués », a-t-il expliqué.
Outre les soins spécifiques au VIH, l’UTA de Kolda accueille également des patients atteints d’autres maladies. Cela permet d’offrir un cadre inclusif et de limiter les risques de discrimination sociale. « Seul le médecin sait ce qui amène les patients. Ce fonctionnement renforce la discrétion et favorise l’accès aux soins sans crainte de jugement », a ajouté le Dr Sy.
La région de Kolda reste particulièrement touchée par l’épidémie, avec une prévalence du VIH plus élevée que la moyenne nationale. Les efforts de structures comme l’UTA joue un rôle important pour offrir des soins adaptés tout en réduisant les préjugés.
Cette initiative de l’AJSPD et du CNLS, à travers la caravane de presse, vise à sensibiliser davantage sur les réalités de la prise en charge du VIH/Sida dans cette région et à encourager une mobilisation collective pour venir en aide aux personnes vivant avec le virus.
Dr Thierno Chérif Sy, coordonnateur régional de la prise en charge du VIH/Sida à Kolda, a révélé ces chiffres lors d’une caravane de presse organisée par l’Association des journalistes en santé, population et développement (AJSPD) en collaboration avec le Conseil national de lutte contre le sida (CNLS).
Selon Dr Sy, " l’UTA de Kolda suit actuellement 1824 patients vivant avec le VIH, répartis comme suit : 1394 femmes régulièrement suivies, 430 hommes, 57 enfants, notamment ceux âgés entre 5 et 10 ans."
A en croire L'Aps, depuis 2006, cette unité s’est imposée comme une référence régionale pour la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, attirant une fréquentation importante.
Le Dr Sy a souligné que l’unité de traitement ambulatoire joue un rôle clé dans la lutte contre la stigmatisation et la discrimination liées à l’infection au VIH. « L’infection à VIH est souvent sujette à la stigmatisation et à la discrimination. Grâce à l’UTA, les patients bénéficient de soins dans un cadre qui garantit leur confidentialité. La population générale y est également prise en charge pour d’autres pathologies, ce qui empêche de deviner la nature des traitements prodigués », a-t-il expliqué.
Outre les soins spécifiques au VIH, l’UTA de Kolda accueille également des patients atteints d’autres maladies. Cela permet d’offrir un cadre inclusif et de limiter les risques de discrimination sociale. « Seul le médecin sait ce qui amène les patients. Ce fonctionnement renforce la discrétion et favorise l’accès aux soins sans crainte de jugement », a ajouté le Dr Sy.
La région de Kolda reste particulièrement touchée par l’épidémie, avec une prévalence du VIH plus élevée que la moyenne nationale. Les efforts de structures comme l’UTA joue un rôle important pour offrir des soins adaptés tout en réduisant les préjugés.
Cette initiative de l’AJSPD et du CNLS, à travers la caravane de presse, vise à sensibiliser davantage sur les réalités de la prise en charge du VIH/Sida dans cette région et à encourager une mobilisation collective pour venir en aide aux personnes vivant avec le virus.
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