À Téhéran, on estime que l’attaque a été un succès. C’est la plus grande attaque de drones de l’histoire. C’est aussi la première fois qu’Israël est ainsi frappé depuis la guerre de 1967.
Le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général Baqeri, a affirmé que l’Iran n’avait pas l’intention de poursuivre cette opération : « Grace à Dieu, l'attaque menée a atteint tous ses objectifs. Nous n'avons pas l'intention de la poursuivre. Nous estimons qu'elle est terminée. Mais, si jamais Israël décide de riposter soit contre notre sol, soit contre nos bases à l'étranger, notamment en Syrie, notre réponse sera encore plus vaste que l'attaque d'hier soir. »
Des Iraniens sont descendus dans la rue à Téhéran et dans les villes de provinces pour crier victoire et exprimer leurs joies. De nombreuses vidéos circulent aussi sur les réseaux sociaux montrant des missiles iraniens au-dessus de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem ou encore au-dessus de la Knesset. Sur certaines vidéos, on voit également des missiles frapper des cibles les unes après les autres.
Un avertissement à Washington
L’Iran affirmé n'avoir visé aucun centre économique ou de zone civile pour punir l’armée israélienne après son attaque contre le consulat iranien à Damas. Téhéran a affirmé que des cibles militaires avaient été visées, notamment une base au Néguev, mais aussi une base dans le nord d’Israël d’où étaient partis les avions qui avaient frappé le 1ᵉʳ avril, faisant seize morts, dont deux importants commandants des Gardiens de la révolution.
Dans la nuit, les Gardiens de la révolution ont publié un communiqué pour mettre en garde Israël, mais aussi les États-Unis. Le texte affirme que si jamais l’État hébreu décidait de réagir, à ce moment la réaction de Téhéran sera encore plus dure.
Il met en garde aussi les États-Unis en arguant que si jamais les États-Unis s’engageaient aux côtés d’Israël pour attaquer l’Iran, tous les intérêts et les bases américaines dans la région, notamment en Syrie et en Irak, seront des cibles potentielles et légitimes.
Le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général Baqeri, a affirmé que l’Iran n’avait pas l’intention de poursuivre cette opération : « Grace à Dieu, l'attaque menée a atteint tous ses objectifs. Nous n'avons pas l'intention de la poursuivre. Nous estimons qu'elle est terminée. Mais, si jamais Israël décide de riposter soit contre notre sol, soit contre nos bases à l'étranger, notamment en Syrie, notre réponse sera encore plus vaste que l'attaque d'hier soir. »
Des Iraniens sont descendus dans la rue à Téhéran et dans les villes de provinces pour crier victoire et exprimer leurs joies. De nombreuses vidéos circulent aussi sur les réseaux sociaux montrant des missiles iraniens au-dessus de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem ou encore au-dessus de la Knesset. Sur certaines vidéos, on voit également des missiles frapper des cibles les unes après les autres.
Un avertissement à Washington
L’Iran affirmé n'avoir visé aucun centre économique ou de zone civile pour punir l’armée israélienne après son attaque contre le consulat iranien à Damas. Téhéran a affirmé que des cibles militaires avaient été visées, notamment une base au Néguev, mais aussi une base dans le nord d’Israël d’où étaient partis les avions qui avaient frappé le 1ᵉʳ avril, faisant seize morts, dont deux importants commandants des Gardiens de la révolution.
Dans la nuit, les Gardiens de la révolution ont publié un communiqué pour mettre en garde Israël, mais aussi les États-Unis. Le texte affirme que si jamais l’État hébreu décidait de réagir, à ce moment la réaction de Téhéran sera encore plus dure.
Il met en garde aussi les États-Unis en arguant que si jamais les États-Unis s’engageaient aux côtés d’Israël pour attaquer l’Iran, tous les intérêts et les bases américaines dans la région, notamment en Syrie et en Irak, seront des cibles potentielles et légitimes.
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