Le FC Barcelone abordera le match retour face à Naples, le 18 mars, en position favorable, mais devra bonifier ce match nul ramené d'Italie malgré une mièvre première période. Elle s'est en effet résumée à un geste de classe, mais côté napolitain : une frappe magnifique de Mertens, qui a trouvé la lucarne droite d'un enroulé du pied droit (29e). Une ouverture du score due, en partie, à un ballon mal négocié par Junior et récupéré par Zielinski, dont le centre à ras de terre a trouvé l'avant-centre belge, démarqué à l'extérieur de la surface. Mertens, qui a seulement touché huit ballons en première période, a ainsi fait preuve d'un réalisme absolu face à une équipe catalane dominatrice mais dénuée d'inspiration.
Le Barça a joué sans idée et sans rythme, se contentant d'une possession « défensive » qui lui a permis de geler le ballon grâce son pressing haut, sans réussir à se montrer dangereux. C'est même le Napoli qui, avant la pause, a failli doubler la mise, mais Manolas n'a pas cadré sa reprise suite à la remise instantanée de Callejon dans la surface (42e). A la reprise, le schéma n'a pas changé : les joueurs du Napoli sont restés soudés dans un bloc bas et compact, pour fermer les espaces et coulisser. Mais Barcelone a réussi à desserrer l'étreinte grâce à une passe tranchante de Busquets pour Semedo, parti dans le dos de la défense. Le centre précis du latéral portugais a trouvé Griezmann, auteur dans la surface d'une reprise du droit pleine de sang-froid (1-1, 57e). Dans la foulée, la partie s'est un peu décoincée et Ter Stegen a dû s'employer face à Insigne (61e) et Callejon (63e). Mais l'agrandissement des espaces n'a pas permis de gonfler le score, resté intact jusqu'à la fin, malgré l'expulsion tardive de Vidal (89e) et les six minutes de temps additionnel. Barcelone ne s'est pas brûlé dans le volcan du San Paolo.
L’Equipe
Le Barça a joué sans idée et sans rythme, se contentant d'une possession « défensive » qui lui a permis de geler le ballon grâce son pressing haut, sans réussir à se montrer dangereux. C'est même le Napoli qui, avant la pause, a failli doubler la mise, mais Manolas n'a pas cadré sa reprise suite à la remise instantanée de Callejon dans la surface (42e). A la reprise, le schéma n'a pas changé : les joueurs du Napoli sont restés soudés dans un bloc bas et compact, pour fermer les espaces et coulisser. Mais Barcelone a réussi à desserrer l'étreinte grâce à une passe tranchante de Busquets pour Semedo, parti dans le dos de la défense. Le centre précis du latéral portugais a trouvé Griezmann, auteur dans la surface d'une reprise du droit pleine de sang-froid (1-1, 57e). Dans la foulée, la partie s'est un peu décoincée et Ter Stegen a dû s'employer face à Insigne (61e) et Callejon (63e). Mais l'agrandissement des espaces n'a pas permis de gonfler le score, resté intact jusqu'à la fin, malgré l'expulsion tardive de Vidal (89e) et les six minutes de temps additionnel. Barcelone ne s'est pas brûlé dans le volcan du San Paolo.
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