C’est à 20h30 ce 5 février que Laurent Gbagbo a quitté son hôtel, escorté par des officiers de sécurité de la Cour pénale internationale (CPI) avant d’être remis aux autorités belges peu avant 22h, rapporte notre correspondante à La Haye,Stéphanie Maupas .
Acquitté depuis le 15 janvier, Laurent Gbagbo avait quitté la prison de la Cour pénale internationale vendredi 1er février au soir, avant d’être conduit dans un hôtel sur la route de Delft, en direction de Rotterdam.
L’ancien président ivoirien est resté là pendant quatre jours, le temps pour la Cour de conduire les dernières négociations avec les autorités belges sur sa nouvelle résidence. Il fallait préparer ses documents de voyage, obtenir la signature des autorités et régler les questions relatives aux conditions imposées par la CPI, expliquait-on à La Haye.
Sa libération reste limitée aux conditions arrêtées par la chambre d’appel. Laurent Gbagbo ne sera pas autorisé à quitter sa municipalité de résidence – probablement Bruxelles où se trouve sa troisième épouse et l’un de ses fils – sans obtenir l’autorisation préalable de la CPI et des autorités belges. Il ne sera pas non plus autorisé à s’exprimer publiquement sur son affaire.
Localisation confidentielle
La procureure de la CPI a indiqué qu’elle pourrait faire appel de son acquittement, une fois qu’aura été remis le jugement d’acquittement par écrit. Mais sa rédaction pourrait prendre plusieurs mois.
Désormais installé en Belgique dans un lieu pour l’instant confidentiel, Laurent Gbagbo sera censé résider dans le « plat pays » tant que les procédures à son encontre seront en cours devant la Cour pénale internationale.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il y a eu un délai de quatre jours entre le feu vert de la CPI à sa libération vendredi et son arrivée en Belgique ce 5 février, note notre correspondant à Bruxelles, Pierre Bénazet. Il a fallu une négociation entre le greffe de la CPI et les autorités belges pour évaluer la manière dont les conditions de sa libération seraient mises en place en Belgique.
Laurent Gbagbo s'est vu délivrer un visa belge de type C qui donne un droit de séjour de 90 jours sur le territoire du royaume. Il doit mettre à profit ce délai pour aller s’inscrire auprès de l’administration de sa commune de résidence qu'il ne pourra pas la quitter selon les termes de sa libération conditionnelle. Il devra pointer au commissariat de police ou auprès des autorités administratives locales une fois par semaine.
Acquitté depuis le 15 janvier, Laurent Gbagbo avait quitté la prison de la Cour pénale internationale vendredi 1er février au soir, avant d’être conduit dans un hôtel sur la route de Delft, en direction de Rotterdam.
L’ancien président ivoirien est resté là pendant quatre jours, le temps pour la Cour de conduire les dernières négociations avec les autorités belges sur sa nouvelle résidence. Il fallait préparer ses documents de voyage, obtenir la signature des autorités et régler les questions relatives aux conditions imposées par la CPI, expliquait-on à La Haye.
Sa libération reste limitée aux conditions arrêtées par la chambre d’appel. Laurent Gbagbo ne sera pas autorisé à quitter sa municipalité de résidence – probablement Bruxelles où se trouve sa troisième épouse et l’un de ses fils – sans obtenir l’autorisation préalable de la CPI et des autorités belges. Il ne sera pas non plus autorisé à s’exprimer publiquement sur son affaire.
Localisation confidentielle
La procureure de la CPI a indiqué qu’elle pourrait faire appel de son acquittement, une fois qu’aura été remis le jugement d’acquittement par écrit. Mais sa rédaction pourrait prendre plusieurs mois.
Désormais installé en Belgique dans un lieu pour l’instant confidentiel, Laurent Gbagbo sera censé résider dans le « plat pays » tant que les procédures à son encontre seront en cours devant la Cour pénale internationale.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il y a eu un délai de quatre jours entre le feu vert de la CPI à sa libération vendredi et son arrivée en Belgique ce 5 février, note notre correspondant à Bruxelles, Pierre Bénazet. Il a fallu une négociation entre le greffe de la CPI et les autorités belges pour évaluer la manière dont les conditions de sa libération seraient mises en place en Belgique.
Laurent Gbagbo s'est vu délivrer un visa belge de type C qui donne un droit de séjour de 90 jours sur le territoire du royaume. Il doit mettre à profit ce délai pour aller s’inscrire auprès de l’administration de sa commune de résidence qu'il ne pourra pas la quitter selon les termes de sa libération conditionnelle. Il devra pointer au commissariat de police ou auprès des autorités administratives locales une fois par semaine.
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