Dans la nuit de jeudi à vendredi 1er décembre, des affrontements ont éclaté entre les éléments de la garde nationale, retranchés dans une caserne du sud de la capitale Bissau, et les forces spéciales de la garde présidentielle. Ces combats ont fait au moins deux morts, selon un responsable militaire.
La Cedeao, dans un communiqué publié samedi 2 décembre, « condamne fermement les violences et toutes les tentatives visant à perturber l’ordre constitutionnel et l’État de droit en Guinée-Bissau », appelant « à l’arrestation et à la poursuite des auteurs de l’incident ». Elle « exprime son entière solidarité avec le peuple et les autorités constitutionnelles de la Guinée-Bissau ».
Vendredi, l’ONU avait appelé au respect de l’État de droit et exhorté les membres des forces de sécurité et des forces armées « à continuer de s’abstenir de toute ingérence dans la politique nationale »
La Cedeao, dans un communiqué publié samedi 2 décembre, « condamne fermement les violences et toutes les tentatives visant à perturber l’ordre constitutionnel et l’État de droit en Guinée-Bissau », appelant « à l’arrestation et à la poursuite des auteurs de l’incident ». Elle « exprime son entière solidarité avec le peuple et les autorités constitutionnelles de la Guinée-Bissau ».
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