Le téléphone a beaucoup sonné ces derniers jours entre Accra et les capitales de la région. Les autorités ghanéennes, qui assurent la présidence tournante de l’organisation sous-régionale, ont consulté les chefs d’État pour organiser en urgence un sommet sur l’évolution de la situation au Mali et en Guinée.
Les présidents ont donné leur accord et une date est désormais arrêtée : le sommet aura lieu le 7 novembre prochain à Accra, selon plusieurs sources. Ce jour-là, il sera question de la transition en Guinée alors que les relations avec Conakry semblent s’être quelque peu pacifiées. À l’ordre du jour également, la transition malienne.
En visite à Bamako le 17 octobre dernier, le président ghanéen Nana Akufo-Addo, avait délivré un message de fermeté quant au respect par les autorités du calendrier électoral. Les élections, présidentielle et législatives, sont prévues à partir du 27 février prochain. Or, les responsables de la junte au pouvoir répètent vouloir organiser des assises nationales avant de fixer la date des élections. La tension est montée d’un cran cette semaine avec l’expulsion lundi du représentant de l’organisation sous-régionale à Bamako par le gouvernement malien.
Ce dimanche, la junte militaire doit remettre à la Cédéao un chronogramme. Celui-ci sera-t-il jugé recevable par les chefs d’État de la région ?. Si tel n’est pas le cas, des sanctions plus strictes pourraient-elles être envisagées ? C’est là tout l’enjeu du sommet de dimanche prochain.
Les présidents ont donné leur accord et une date est désormais arrêtée : le sommet aura lieu le 7 novembre prochain à Accra, selon plusieurs sources. Ce jour-là, il sera question de la transition en Guinée alors que les relations avec Conakry semblent s’être quelque peu pacifiées. À l’ordre du jour également, la transition malienne.
En visite à Bamako le 17 octobre dernier, le président ghanéen Nana Akufo-Addo, avait délivré un message de fermeté quant au respect par les autorités du calendrier électoral. Les élections, présidentielle et législatives, sont prévues à partir du 27 février prochain. Or, les responsables de la junte au pouvoir répètent vouloir organiser des assises nationales avant de fixer la date des élections. La tension est montée d’un cran cette semaine avec l’expulsion lundi du représentant de l’organisation sous-régionale à Bamako par le gouvernement malien.
Ce dimanche, la junte militaire doit remettre à la Cédéao un chronogramme. Celui-ci sera-t-il jugé recevable par les chefs d’État de la région ?. Si tel n’est pas le cas, des sanctions plus strictes pourraient-elles être envisagées ? C’est là tout l’enjeu du sommet de dimanche prochain.
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