La convergence nationale Sutsas-Sas s’est réunie ce week-end en séance ordinaire au siège de l’Unsas. Un communiqué est publié suite à cette rencontre. Ces syndicalistes ont procédé à une analyse de la situation socio-sanitaire. Ainsi, une telle rencontre ne pouvait occulter les incidents liés aux délestages. Trois bébés sont morts à Ziguinchor, faute d’électricité. Les militants de la convergence syndicale Sutsas-Sas s’inclinent certes devant la mémoire des défunts mais interpelle le Sutelec et l’Unsas ainsi que les forces sociales et réclame « le dédommagement de toutes les victimes de la Sénélec ».
Par ailleurs, trouvant la démarche de Mamadou Diagne Fada, ministre de la santé provocatrice, les militants de la convergence préviennent le gouvernement. Le climat social pourrait se détériorer. Il en sera l’unique responsable. La grève peut donc reprendre car « l’ère des « babacoumandang », c’est-à-dire celle des dictateurs est révolue ». A Fada donc, ces syndicalistes reprochent beaucoup de choses. Un de leurs acquis de haute lutte syndicale dans le cadre de la gestion du personnel a été bafoué par ce dernier tout dernièrement. Le ministre a, en effet, « sans sourciller, au mépris de l’élégance républicaine, confectionné seul et envoyé à la primature la liste du personnel d’encadrement médical à la Mecque », selon le communiqué. Ignorant le « déjà fait », la convergence nationale exige le retrait de ladite liste. Ces agents de santé rappellent, en outre, à leur ministre de tutelle que « ladite mission d’encadrement du pèlerinage n’est pas une mission pour récompenser des agents, mais une noble mission de travail, elle n’en est pas une mission politique d’encadrement politicien ». La revue en hausse des ratios de couverture est aussi demandée avec un encadreur pour 100 pèlerins afin d’éviter la surcharge de travail.
Cette réunion a aussi été l’objet de statuer sur l’érection des centres de santé en hôpitaux de niveau I. La convergence salue l’initiative et fustige la démarche de certains centres qui refusent cette mutation. Le cas de l’hôpital polyclinique de la Médina est le plus patent. Pour la convergence le refus de leurs collègues ne se justifie pas. Les responsables qui organisent cette résistance ne le font que « pour préserver des intérêts égoïstes ».
Sur un autre registre, la convergence demande à la commission d’affectation de se réunir dans les meilleurs délais. C’est la rentrée des classes et les enfants des futurs mutés risquent de perdre des jours de classe si la sortie des listes d’affectation tarde encore. Le reversement des agents sanitaires dans le corps des assistants infirmiers est aussi souhaité. La convergence invite le ministre en charge de l’action sociale « à se pencher sur l’observatoire national des inégalités sociales, la loi de l’orientation familiale, l’érection d’une direction des ressources humaines ».
Par ailleurs, trouvant la démarche de Mamadou Diagne Fada, ministre de la santé provocatrice, les militants de la convergence préviennent le gouvernement. Le climat social pourrait se détériorer. Il en sera l’unique responsable. La grève peut donc reprendre car « l’ère des « babacoumandang », c’est-à-dire celle des dictateurs est révolue ». A Fada donc, ces syndicalistes reprochent beaucoup de choses. Un de leurs acquis de haute lutte syndicale dans le cadre de la gestion du personnel a été bafoué par ce dernier tout dernièrement. Le ministre a, en effet, « sans sourciller, au mépris de l’élégance républicaine, confectionné seul et envoyé à la primature la liste du personnel d’encadrement médical à la Mecque », selon le communiqué. Ignorant le « déjà fait », la convergence nationale exige le retrait de ladite liste. Ces agents de santé rappellent, en outre, à leur ministre de tutelle que « ladite mission d’encadrement du pèlerinage n’est pas une mission pour récompenser des agents, mais une noble mission de travail, elle n’en est pas une mission politique d’encadrement politicien ». La revue en hausse des ratios de couverture est aussi demandée avec un encadreur pour 100 pèlerins afin d’éviter la surcharge de travail.
Cette réunion a aussi été l’objet de statuer sur l’érection des centres de santé en hôpitaux de niveau I. La convergence salue l’initiative et fustige la démarche de certains centres qui refusent cette mutation. Le cas de l’hôpital polyclinique de la Médina est le plus patent. Pour la convergence le refus de leurs collègues ne se justifie pas. Les responsables qui organisent cette résistance ne le font que « pour préserver des intérêts égoïstes ».
Sur un autre registre, la convergence demande à la commission d’affectation de se réunir dans les meilleurs délais. C’est la rentrée des classes et les enfants des futurs mutés risquent de perdre des jours de classe si la sortie des listes d’affectation tarde encore. Le reversement des agents sanitaires dans le corps des assistants infirmiers est aussi souhaité. La convergence invite le ministre en charge de l’action sociale « à se pencher sur l’observatoire national des inégalités sociales, la loi de l’orientation familiale, l’érection d’une direction des ressources humaines ».
Autres articles
-
Variole du singe ou Mpox : l’OIM cherche plus de 11 milliards FCFA
-
Taux de prévalence du Sida : avec un taux de 0, 3% et 900 nouveaux cas le Sénégal cité en exemple
-
Le ministre de la Santé, Ibrahima Sy, préoccupé par la prise en charge des urgences
-
Paludisme : 199 décès sur 7196 cas d’hospitalisation recensés en 2023 (responsable)
-
Maladies non-transmissibles : les experts prédisent 12. 000 nouveaux cas de cancer chaque année au Sénégal