« J’ai pris la décision de mettre fin à ma carrière de lutteur. C’est fini, je quitte l’arène. » C’est en ces termes que le chef de file de l’écurie « Door Dorrat » s’est exprimé dans les colonnes du journal L’Observateur. Selon Zoss, c’est sur instruction de son marabout qu’il a décidé de quitter l’arène
« Depuis quelques années, mon guide religieux n’arrête pas de me demander d’arrêter, mais j’ai toujours fait la sourde oreille. Cette fois, je me suis plié au «ndiguël» (la consigne) de mon marabout, Serigne Moussa Nawel. C’est une décision mûrement réfléchie. J’ai officiellement pris cette décision depuis juillet dernier. »
Celui qu’on surnomme le « showman » de l’arène a toutefois pensé à sa reconversion. « J’ai beaucoup de choses à faire dans la vie. Déjà, j’avais monté une société qui fait dans le Btp et l’événementiel… J’ai aussi un mouvement qui s’appelle «Sen Afrique» et qui mobilise des intellectuels qui réfléchissent sur des projets de développement. Maintenant que je ne suis plus lutteurs, j’ai hérité du poste de président de mon écurie «Door Doorat». Par ailleurs, je m’investis dans la structure «Arena Blood Sport et Santé» avec comme défi de lutter contre le manque de sang dans nos hôpitaux. C’est un projet qui a maintenant décollé. J’ai été reçu par pas mal d’autorités de ce pays. J’organise très souvent des cérémonies de don de sang. Vous voyez donc que je ne vais pas chômer après avoir mis fin à ma carrière de lutteur », rassure le lutteur .
« Depuis quelques années, mon guide religieux n’arrête pas de me demander d’arrêter, mais j’ai toujours fait la sourde oreille. Cette fois, je me suis plié au «ndiguël» (la consigne) de mon marabout, Serigne Moussa Nawel. C’est une décision mûrement réfléchie. J’ai officiellement pris cette décision depuis juillet dernier. »
Celui qu’on surnomme le « showman » de l’arène a toutefois pensé à sa reconversion. « J’ai beaucoup de choses à faire dans la vie. Déjà, j’avais monté une société qui fait dans le Btp et l’événementiel… J’ai aussi un mouvement qui s’appelle «Sen Afrique» et qui mobilise des intellectuels qui réfléchissent sur des projets de développement. Maintenant que je ne suis plus lutteurs, j’ai hérité du poste de président de mon écurie «Door Doorat». Par ailleurs, je m’investis dans la structure «Arena Blood Sport et Santé» avec comme défi de lutter contre le manque de sang dans nos hôpitaux. C’est un projet qui a maintenant décollé. J’ai été reçu par pas mal d’autorités de ce pays. J’organise très souvent des cérémonies de don de sang. Vous voyez donc que je ne vais pas chômer après avoir mis fin à ma carrière de lutteur », rassure le lutteur .
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