«Il y a des actions que je ne peux pas expliquer dans l’agriculture du Sénégal». Par exemple, dit-il, le Sénégal a de la finerie d’huile d’arachide et on traite les tourteaux d’arachides comme l’aflatoxine, c’est très bien. «Par ailleurs on ne trouve pas de la production du soja qui est beaucoup plus intéressante que celle de l’arachide, surtout sur le volet alimentation animale» a-t-il remarqué. Selon lui, avec le soja on peut faire plusieurs produits même pour l’alimentation humaine. D’ailleurs en Israël, il y a une grande gamme de produit qui a été développé à base de soja. Je ne trouve aucun inconvénient pour que ça s’effectue ici.
Constatant la faible pluviométrie au Sénégal, le spécialiste en irrigation de révéler : «je viens d’un pays où dans certaines régions on reçoit la moitié de la pluviométrie moyenne que vous avez ici à Dakar. Et malgré tout on arrive à faire de l’agriculture avec de très bons résultats. Alors je ne trouve aucune raison pour que cela ne soit pas possible ici». Et de poursuivre: «ce n’est qu’une question de savoir faire et d’adopter les technologies. Ce n’est pas quelque chose qu’il faut développer de nouveau, ou bien trouver des solutions. Non, les solutions existent. Ce n’est qu’une question de les utiliser».
En outre, il a expliqué que le rendement normal d’un hectare de tomate équivaut à 100 tonnes au lieu des 20 tonnes que l’on trouve au Sénégal. «Je ne peux pas expliquer qu’un hectare de tomate au Sénégal ait un rendement de 20 à 30 tonnes alors qu’il est possible d’avoir un rendement de 100 ou 120 tonnes par hectare. Ce ne sont pas des chiffres imaginaires, ce sont des chiffres réels.» se désole-t-il.
Constatant la faible pluviométrie au Sénégal, le spécialiste en irrigation de révéler : «je viens d’un pays où dans certaines régions on reçoit la moitié de la pluviométrie moyenne que vous avez ici à Dakar. Et malgré tout on arrive à faire de l’agriculture avec de très bons résultats. Alors je ne trouve aucune raison pour que cela ne soit pas possible ici». Et de poursuivre: «ce n’est qu’une question de savoir faire et d’adopter les technologies. Ce n’est pas quelque chose qu’il faut développer de nouveau, ou bien trouver des solutions. Non, les solutions existent. Ce n’est qu’une question de les utiliser».
En outre, il a expliqué que le rendement normal d’un hectare de tomate équivaut à 100 tonnes au lieu des 20 tonnes que l’on trouve au Sénégal. «Je ne peux pas expliquer qu’un hectare de tomate au Sénégal ait un rendement de 20 à 30 tonnes alors qu’il est possible d’avoir un rendement de 100 ou 120 tonnes par hectare. Ce ne sont pas des chiffres imaginaires, ce sont des chiffres réels.» se désole-t-il.
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