« La situation sociale du Sénégal est explosive à plusieurs niveaux du fait de l’amoncellement des revendications non satisfaites et des nombreux conflits qui se sont répandus tout au long de l’année dans les secteurs de l’énergie, la santé, la justice, les postes et télécommunications, les collectivités locales et l’administration du travail » explique la déclaration de la centrale.
Et ce sont les stratégies des autorités qui sont décriées. « Il faut évaluer l’état de dégradation des relations de travail dans ces secteurs qui a dépassé le seuil critique et se rendre compte de la mauvaise perception du gouvernement de sa gestion préventive des conflits de travail ».
Si les syndicalistes se félicitent du fait que « le dossier de l’électricité a été largement débattu en conseil national de la consommation », ils regrettent « des gesticulations du nouveau ministre de la santé dont les préoccupations sont du reste la mise en place d’une agence nationale de gestion d’un fonds alimenté par les contributions des mutuelles de santé communautaire, sans faire le moindre souci du climat social délétère qui règne dans son secteur ».
« Le même constat est valable dans le secteur des télécoms ou le rejet de Global Voice est unanime alors que le gouvernement s’obstine à maintenir un projet voué à l’échec » ajoute la déclaration de l’UNSAS.
Par contre, l’UNSAS salue la mesure prise par le premier Ministre pour auditer la poste dont la gestion du directeur général est décriée et lance un ultimatum au gouvernement sur l’urgence à s’acquitter de ses engagements en vue d’éviter un nouveau bouillonnement dans le secteur de la justice dont les conséquences seront difficilement maîtrisables.
Enfin la centrale se préoccupe du dénouement de la crise et de l’aboutissement de la grève illimitée des inspecteurs et contrôleurs de travail et devant tous ces dossiers, l’UNSAS mobilise ses troupes afin de mener une action coordonnée de l’ensemble des secteurs en lutte et arriver à mettre en place une gestion efficiente des conflits collectifs.
Et ce sont les stratégies des autorités qui sont décriées. « Il faut évaluer l’état de dégradation des relations de travail dans ces secteurs qui a dépassé le seuil critique et se rendre compte de la mauvaise perception du gouvernement de sa gestion préventive des conflits de travail ».
Si les syndicalistes se félicitent du fait que « le dossier de l’électricité a été largement débattu en conseil national de la consommation », ils regrettent « des gesticulations du nouveau ministre de la santé dont les préoccupations sont du reste la mise en place d’une agence nationale de gestion d’un fonds alimenté par les contributions des mutuelles de santé communautaire, sans faire le moindre souci du climat social délétère qui règne dans son secteur ».
« Le même constat est valable dans le secteur des télécoms ou le rejet de Global Voice est unanime alors que le gouvernement s’obstine à maintenir un projet voué à l’échec » ajoute la déclaration de l’UNSAS.
Par contre, l’UNSAS salue la mesure prise par le premier Ministre pour auditer la poste dont la gestion du directeur général est décriée et lance un ultimatum au gouvernement sur l’urgence à s’acquitter de ses engagements en vue d’éviter un nouveau bouillonnement dans le secteur de la justice dont les conséquences seront difficilement maîtrisables.
Enfin la centrale se préoccupe du dénouement de la crise et de l’aboutissement de la grève illimitée des inspecteurs et contrôleurs de travail et devant tous ces dossiers, l’UNSAS mobilise ses troupes afin de mener une action coordonnée de l’ensemble des secteurs en lutte et arriver à mettre en place une gestion efficiente des conflits collectifs.
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