Qu'est-ce que cela vous fait de retrouver le sol sénégalais?
C’est toujours un immense plaisir de retrouver le pays. La saison a été longue, mais elle continue pour nous. Des échéances importantes nous attendent. Il y a pas mal de potentiel pour le Sénégal. On peut se permettre d’avoir un football comme on l’espère.
Est-ce facile de sortir d’une saison et d’entamer si vite les éliminatoires ?
Ce n’est pas la première fois que cela m’arrive. Je pense que j’ai un peu l’habitude. Pour certains c’est difficile car il faut se remettre en cause. Mais d’après ce que j’ai vu tout le monde est concerné. Les joueurs savent que nous sommes là pour mouiller le maillot pour le peuple sénégalais. Tout le monde est prêt à faire ces efforts.
Avec trois défenseurs centraux seulement, la concurrence est-elle moindre dans ce secteur ?
La concurrence a toujours existé. Même s’il y en a moins aujourd’hui il y en a, elle est toujours là. Nous sommes trois mais il n’y a que deux places. On ne sait pas ceux qui vont jouer ou pas, c’est à nous de faire nos preuves et rester prêts.
Comment jugez-vous la poule du Sénégal dans ces éliminatoires?
Je pense que dans le football il n’y a plus de petit poucet. Nous en avons des exemples. Certaines équipes se sont révélées à travers les CAN. A part trois ou quatre qui sont au-dessus du lot. Mais il faut toujours se méfier des équipes dont les gens ne parlent même pas. Elles ont souvent tendance à surprendre à l’arrivée. Nous devons les prendre comme des grandes équipes. Il faudra tout faire pour prendre des points à domicile. Et je pense que c’est ce qui est le plus important.
La CAN 2015 n’est-elle pas toujours présente dans les esprits ?
Nous avons tourné la page de la CAN 2015. Nous avons un nouvel entraineur, un nouveau staff. Mentalement, nous nous sommes remis. Nous avons fait de bonnes saisons avec nos clubs, et nous allons entamer les éliminatoires avec un gros mental et une grosse force d’équipe. C’est ce qui nous fera avancer.
Vous êtes capitaine en club et en sélection. Cela ne pèse pas un peu sur vos épaules ?
Non pas du tout. A Bordeaux je suis épaulé, et quand je viens en sélection, il y a des joueurs sur lesquels je peux m’appuyer. C’est une fierté pour moi d’être le capitaine de l’équipe nationale du Sénégal. Le coach m’a donné le rôle et je compte le jouer pleinement.
C’est toujours un immense plaisir de retrouver le pays. La saison a été longue, mais elle continue pour nous. Des échéances importantes nous attendent. Il y a pas mal de potentiel pour le Sénégal. On peut se permettre d’avoir un football comme on l’espère.
Est-ce facile de sortir d’une saison et d’entamer si vite les éliminatoires ?
Ce n’est pas la première fois que cela m’arrive. Je pense que j’ai un peu l’habitude. Pour certains c’est difficile car il faut se remettre en cause. Mais d’après ce que j’ai vu tout le monde est concerné. Les joueurs savent que nous sommes là pour mouiller le maillot pour le peuple sénégalais. Tout le monde est prêt à faire ces efforts.
Avec trois défenseurs centraux seulement, la concurrence est-elle moindre dans ce secteur ?
La concurrence a toujours existé. Même s’il y en a moins aujourd’hui il y en a, elle est toujours là. Nous sommes trois mais il n’y a que deux places. On ne sait pas ceux qui vont jouer ou pas, c’est à nous de faire nos preuves et rester prêts.
Comment jugez-vous la poule du Sénégal dans ces éliminatoires?
Je pense que dans le football il n’y a plus de petit poucet. Nous en avons des exemples. Certaines équipes se sont révélées à travers les CAN. A part trois ou quatre qui sont au-dessus du lot. Mais il faut toujours se méfier des équipes dont les gens ne parlent même pas. Elles ont souvent tendance à surprendre à l’arrivée. Nous devons les prendre comme des grandes équipes. Il faudra tout faire pour prendre des points à domicile. Et je pense que c’est ce qui est le plus important.
La CAN 2015 n’est-elle pas toujours présente dans les esprits ?
Nous avons tourné la page de la CAN 2015. Nous avons un nouvel entraineur, un nouveau staff. Mentalement, nous nous sommes remis. Nous avons fait de bonnes saisons avec nos clubs, et nous allons entamer les éliminatoires avec un gros mental et une grosse force d’équipe. C’est ce qui nous fera avancer.
Vous êtes capitaine en club et en sélection. Cela ne pèse pas un peu sur vos épaules ?
Non pas du tout. A Bordeaux je suis épaulé, et quand je viens en sélection, il y a des joueurs sur lesquels je peux m’appuyer. C’est une fierté pour moi d’être le capitaine de l’équipe nationale du Sénégal. Le coach m’a donné le rôle et je compte le jouer pleinement.
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