Le front contre le projet de loi porté par le Président Macky Sall s'élargit. Après le rejet du collectif des victimes des manifestations de mars et de Human Rights Watch, c'est au tour du Secrétariat Exécutif National (SEN) du FRAPP d'aborder dans le même sens. Guy Marius Sagna et Cie "rejettent fermement le projet de loi d'amnistie".
"Alors que le peuple sénégalais, depuis trop longtemps, a enduré les affres d'une gouvernance marquée par la violence, la répression et des politiques liberticides, des crimes économiques à travers la spoliation de ses ressources naturelles et financières, il est aujourd'hui confronté à un nouvel affront : celui de l'amnistie, une tentative d’effacement des actes criminels et correctionnels commis au détriment de la dignité humaine et des ressources publiques", peut-on lire dans la note.
Le FRAPP affirme "sans ambages sa farouche opposition à cette amnistie qui vise à effacer ces crimes perpétrés depuis plus de 03 ans. Des milliers de sénégalais ont été victimes d'arrestations arbitraires, d'emprisonnements injustes et de violences policières, mais aussi des crimes économiques de Macky Sall et de ses ouailles."
Pour eux : "La vérité précède le pardon, et il est impératif que la lumière soit faite sur toutes les exactions commises à l'encontre de nos concitoyens, mais aussi sur les crimes économiques."
Le FRAPP appelle tous les députés "à voter NON à ce projet de loi d'amnistie. Nous en appelons également au peuple sénégalais tout entier : restons mobilisés, exigeons des comptes, refusons la complaisance envers ceux qui ont bafoué nos droits et notre dignité, et dilapidé nos ressources. "
Guy Marius Sagna et Cie souhaitent "Que des procès équitables se tiennent, que les coupables soient traduits en justice, que la voix des opprimés soit entendue et que la justice triomphe. C'est à cela que le FRAPP s'est constamment engagé avec les détenus et leurs familles dans le cadre du Chemin de la Libération. Et c'est là le seul chemin vers une société véritablement juste et équitable."
"Alors que le peuple sénégalais, depuis trop longtemps, a enduré les affres d'une gouvernance marquée par la violence, la répression et des politiques liberticides, des crimes économiques à travers la spoliation de ses ressources naturelles et financières, il est aujourd'hui confronté à un nouvel affront : celui de l'amnistie, une tentative d’effacement des actes criminels et correctionnels commis au détriment de la dignité humaine et des ressources publiques", peut-on lire dans la note.
Le FRAPP affirme "sans ambages sa farouche opposition à cette amnistie qui vise à effacer ces crimes perpétrés depuis plus de 03 ans. Des milliers de sénégalais ont été victimes d'arrestations arbitraires, d'emprisonnements injustes et de violences policières, mais aussi des crimes économiques de Macky Sall et de ses ouailles."
Pour eux : "La vérité précède le pardon, et il est impératif que la lumière soit faite sur toutes les exactions commises à l'encontre de nos concitoyens, mais aussi sur les crimes économiques."
Le FRAPP appelle tous les députés "à voter NON à ce projet de loi d'amnistie. Nous en appelons également au peuple sénégalais tout entier : restons mobilisés, exigeons des comptes, refusons la complaisance envers ceux qui ont bafoué nos droits et notre dignité, et dilapidé nos ressources. "
Guy Marius Sagna et Cie souhaitent "Que des procès équitables se tiennent, que les coupables soient traduits en justice, que la voix des opprimés soit entendue et que la justice triomphe. C'est à cela que le FRAPP s'est constamment engagé avec les détenus et leurs familles dans le cadre du Chemin de la Libération. Et c'est là le seul chemin vers une société véritablement juste et équitable."
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"