Dans sa présentation, le Docteur Norbert Lebale, a, d’emblée, invité les gouvernements africains à être fermes lorsqu’ils négocient un accord de coopération avec d’autres pays, afin qu’il soit convenablement tenu compte de leurs intérêts.
A son avis « une approche dynamique des gouvernements africains et le partage de données d’expérience avec leurs partenaires en développement sont de nature à accélérer l’échange d’informations sur leurs politiques respectives ; ce qui devrait améliorer l’efficacité des relations pour toutes les parties ».
Le rapport a aussi souligné que les pays africains doivent faire l’effort de varier les secteurs d’échanges «au-delà du secteur des activités extractives et en renforçant le transfert de technologie et de connaissances».
« Les pays africains devraient aussi participer plus activement à la coordination et à l’administration de l’aide des pays en développement et des pays développés, afin d’abaisser les coûts de transaction et d’obtenir les meilleurs résultats économiques » a-t-il suggéré.
Sur un autre plan les responsables de ce rapport ont estimé que «la promotion de coentreprises entre sociétés africaines et sociétés du Sud pourrait aussi stimuler la diffusion des connaissances à l’intention des chefs d’entreprise locaux et contribuer à la transformation structurelle des économies africaines».
Cependant le rapport a noté que malgré l’ampleur de la coopération Afrique-sud les principaux fournisseurs du continent restent les donateurs traditionnels. Pour cette raison il «recommande de considérer la coopération entre l’Afrique et le Sud comme un complément et non comme un substitut des relations avec les partenaires traditionnels du nord ».
A son avis « une approche dynamique des gouvernements africains et le partage de données d’expérience avec leurs partenaires en développement sont de nature à accélérer l’échange d’informations sur leurs politiques respectives ; ce qui devrait améliorer l’efficacité des relations pour toutes les parties ».
Le rapport a aussi souligné que les pays africains doivent faire l’effort de varier les secteurs d’échanges «au-delà du secteur des activités extractives et en renforçant le transfert de technologie et de connaissances».
« Les pays africains devraient aussi participer plus activement à la coordination et à l’administration de l’aide des pays en développement et des pays développés, afin d’abaisser les coûts de transaction et d’obtenir les meilleurs résultats économiques » a-t-il suggéré.
Sur un autre plan les responsables de ce rapport ont estimé que «la promotion de coentreprises entre sociétés africaines et sociétés du Sud pourrait aussi stimuler la diffusion des connaissances à l’intention des chefs d’entreprise locaux et contribuer à la transformation structurelle des économies africaines».
Cependant le rapport a noté que malgré l’ampleur de la coopération Afrique-sud les principaux fournisseurs du continent restent les donateurs traditionnels. Pour cette raison il «recommande de considérer la coopération entre l’Afrique et le Sud comme un complément et non comme un substitut des relations avec les partenaires traditionnels du nord ».
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