Meurtre, menaces de mort, complicités de violences, voie de fait, atteinte à la liberté individuelle... Des faits commis, dit la convocation, lors de la crise de 2011. Les charges contenues dans l'information judiciaire ouverte sont lourdes, très lourdes.
Dans une lettre adressée à Jean-Marc Ayrault, le ministre français des Affaires étrangères, Sidiki Bakaba affirme que son « tort a été de prendre sa caméra pour témoigner ». Rien d'autre. Alors, pourquoi cette possible mise en examen en France ? Il ne comprend pas.
« Je suis étonné de voir tant de charges, confie l'artiste. Mais je me dis, comme les pro-Gbagbo sont en ce moment jugés partout avec les mêmes chefs d’accusation, j’ai bien peur qu’on me mette là-dedans. Je ne suis pas politique. Si avec une caméra on devient une arme de destruction massive, je ne comprends pas. »
Source: Rfi.fr
Dans une lettre adressée à Jean-Marc Ayrault, le ministre français des Affaires étrangères, Sidiki Bakaba affirme que son « tort a été de prendre sa caméra pour témoigner ». Rien d'autre. Alors, pourquoi cette possible mise en examen en France ? Il ne comprend pas.
« Je suis étonné de voir tant de charges, confie l'artiste. Mais je me dis, comme les pro-Gbagbo sont en ce moment jugés partout avec les mêmes chefs d’accusation, j’ai bien peur qu’on me mette là-dedans. Je ne suis pas politique. Si avec une caméra on devient une arme de destruction massive, je ne comprends pas. »
Source: Rfi.fr
Autres articles
-
Ouganda : des appels à évacuer les sinistrés des glissements de terrain
-
Nucléaire iranien: montée de tensions entre Téhéran et les Européens
-
Tchad: à Adré, le chef de la diplomatie française face à la détresse des réfugiés soudanais
-
Kenya: le président fragilisé par des critiques grandissantes de différentes Églises
-
Au Tchad, le chef de la diplomatie française se rend dans le camp de réfugiés d'Adré