« L’hivernage se passe très bien », selon le ministre de l’agriculture Khadim Gueye. Un calendrier est établi pour des visites dans les zones rurales. C’est ainsi que la région de Tambacounda a reçu récemment une délégation ministérielle et Kaffrine suit demain. La première visite effectuée et les échos eus font que l’espoir d’avoir une bonne production est nourri. Encore que, souligne le ministre, « les producteurs sont en plein dans la diversification avec trois à cinq différentes productions dont du niébé, du maïs, du mil et de l’arachide ». Aussi, la récolte se fera bientôt. Les plantes ont atteint la maturité et dans deux semaines ou un peu plus, assure M. Gueye, « les paysans procéderont à la récolte ».
Ces déclarations ont été faites en marge d’un atelier de concertation entre l’agence nationale de conseil agricole et rural (Ancar) et les directions régionales du développement rural (Drdr). La rencontre s’est tenue ce matin dans les locaux du pôle de recherche de l’Isra. L’Ancar étant en train d’être restructurée son principal partenaire, les Drdr doivent être mis au parfum de la nouvelle ligne de travail tracée. En partenaires complémentaires, les deux entités doivent, par ailleurs, se réunir plus souvent pour mieux communiquer. Et comme le souligne Khadim Gueye, « l’Ancar doit pouvoir donner ses avis sur les stratégies à adopter et les Drdr sont nos relais, c’est vous qui connaissez le terrain rural donc vous êtes les mieux placés pour aider dans la définition des politiques agricoles ». L’issue des échanges entamés lors de cet atelier devrait permettre la concrétisation de cette idée. En effet, Alioune Cissé, directeur général de l’Ancar, souhaite que « cet atelier contribue à mieux cadrer les domaines de complémentarité dans l’exercice de nos missions et définir des stratégies et méthodes de travail pour une collaboration exemplaire à la satisfaction du monde rural ».
Ainsi, au cours de cette rencontre les deux structures que sont l’Ancar et les Drdr essaieront de trouver les voies et moyens pouvant leur permettre de raffermir leur collaboration. D’ailleurs affirme Alioune Cissé, directeur général de l’Ancar, « les résultats de cet atelier devront jeter les bases d’une collaboration plus poussée et mieux structurée entre les Drdr et les services de l’Ancar ». Car, seront établis « une circulation plus fluide de l’information (…), des programmes communs d’intervention ainsi que les modalités d’une collaboration mutuellement bénéfique », selon Alioune Cissé.
Ces déclarations ont été faites en marge d’un atelier de concertation entre l’agence nationale de conseil agricole et rural (Ancar) et les directions régionales du développement rural (Drdr). La rencontre s’est tenue ce matin dans les locaux du pôle de recherche de l’Isra. L’Ancar étant en train d’être restructurée son principal partenaire, les Drdr doivent être mis au parfum de la nouvelle ligne de travail tracée. En partenaires complémentaires, les deux entités doivent, par ailleurs, se réunir plus souvent pour mieux communiquer. Et comme le souligne Khadim Gueye, « l’Ancar doit pouvoir donner ses avis sur les stratégies à adopter et les Drdr sont nos relais, c’est vous qui connaissez le terrain rural donc vous êtes les mieux placés pour aider dans la définition des politiques agricoles ». L’issue des échanges entamés lors de cet atelier devrait permettre la concrétisation de cette idée. En effet, Alioune Cissé, directeur général de l’Ancar, souhaite que « cet atelier contribue à mieux cadrer les domaines de complémentarité dans l’exercice de nos missions et définir des stratégies et méthodes de travail pour une collaboration exemplaire à la satisfaction du monde rural ».
Ainsi, au cours de cette rencontre les deux structures que sont l’Ancar et les Drdr essaieront de trouver les voies et moyens pouvant leur permettre de raffermir leur collaboration. D’ailleurs affirme Alioune Cissé, directeur général de l’Ancar, « les résultats de cet atelier devront jeter les bases d’une collaboration plus poussée et mieux structurée entre les Drdr et les services de l’Ancar ». Car, seront établis « une circulation plus fluide de l’information (…), des programmes communs d’intervention ainsi que les modalités d’une collaboration mutuellement bénéfique », selon Alioune Cissé.
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