Selon le ministre d’Etat, chargé de l’énergie, Karim Wade, l’énergie et l’électricité sont trop sérieuses pour être politisées. C’est la raison pour laquelle, il présentera le plan Takkal, en compagnie de son collègue et ministre délégué à la coalition de l’opposition regroupée au sein de Bennoo Siggil Senegaal
«Le ministre délégué et moi allons rencontrer les leaders de Bennoo Siggil Senegaal pour leur exposer le plan Takkal», a promis hier Karim Wade à l’Assemblée nationale où il l’exposait. «L’énergie et l’électricité ne doivent pas être politisées, nous allons partager ce plan avec eux», a-t-il soutenu.
«Nous devons, à travers ce plan rattraper ce retard d’investissement, c’est ce que nous sommes en train de faire. Il faut non seulement rattraper ce retard, pas seulement pour combler les délestages mais pour construire la vie économique de notre pays», a indiqué le ministre d’Etat.
Le ministre a fait savoir «l'énergie comme l'emploi sont deux paramètres importants». Aussi, a-t-il informé, «aujourd'hui, les délestages coûtent à l'économie sénégalaise 164 milliards de FCFA que nous pouvons investir dans l'éducation, que nous pourrions investir dans la santé ou dans la subvention des denrées de première nécessité».
«Le ministre délégué et moi allons rencontrer les leaders de Bennoo Siggil Senegaal pour leur exposer le plan Takkal», a promis hier Karim Wade à l’Assemblée nationale où il l’exposait. «L’énergie et l’électricité ne doivent pas être politisées, nous allons partager ce plan avec eux», a-t-il soutenu.
«Nous devons, à travers ce plan rattraper ce retard d’investissement, c’est ce que nous sommes en train de faire. Il faut non seulement rattraper ce retard, pas seulement pour combler les délestages mais pour construire la vie économique de notre pays», a indiqué le ministre d’Etat.
Le ministre a fait savoir «l'énergie comme l'emploi sont deux paramètres importants». Aussi, a-t-il informé, «aujourd'hui, les délestages coûtent à l'économie sénégalaise 164 milliards de FCFA que nous pouvons investir dans l'éducation, que nous pourrions investir dans la santé ou dans la subvention des denrées de première nécessité».
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