Au cours de la présentation du recueil, l’homme de culture sénégalais Mouhamadou Moustapha Dia qui vit en France a soutenu que «c’est la culture qui peut sauver l’Afrique». Il a expliqué qu’il y a des centaines de langues en Afrique qui doivent être valorisées pour contribuer au développement du continent. A l’en croire «les enfants doivent au moins parler deux langues nationales» et être encouragés a apprendre d’autres langues. Cependant il a rappelé qu’il ne fait pas de la poésie pour donner de leçons de morales.
Il a profité de l’occasion pour lancer un message aux peuples francophones d’Afrique en disant que «la francophonie est une impasse qu’on doit dépasser et cela n’est possible que si on utilise nos langues». Il a demandé à ce que les peuples de ce continent copient sur les turques, les chinois, les japonais entres autres, des peuples développés qui utilisent leurs langues.
Devant le public, l’auteur a exprimé ses engagements politiques, son amour pour son royaume d’enfance et pour le continent africain. Il a essayé de faire comprendre qu’«on ne peut pas faire de poésie sans engagement politique ». Raison pour la quelle à travers ses poèmes son, engagement politique y apparaît.
L’auteur de «Itinérances»a aussi écrit un poème en wolof, un autre en anglais et un dernier en espagnol. A travers cet acte il a souligné la nécessité d’un esprit d’ouverture, à accepter les autres langues. «Car l’essentiel c’est de ne pas négliger sa propre culture» a-t-il confié.
Il a profité de l’occasion pour lancer un message aux peuples francophones d’Afrique en disant que «la francophonie est une impasse qu’on doit dépasser et cela n’est possible que si on utilise nos langues». Il a demandé à ce que les peuples de ce continent copient sur les turques, les chinois, les japonais entres autres, des peuples développés qui utilisent leurs langues.
Devant le public, l’auteur a exprimé ses engagements politiques, son amour pour son royaume d’enfance et pour le continent africain. Il a essayé de faire comprendre qu’«on ne peut pas faire de poésie sans engagement politique ». Raison pour la quelle à travers ses poèmes son, engagement politique y apparaît.
L’auteur de «Itinérances»a aussi écrit un poème en wolof, un autre en anglais et un dernier en espagnol. A travers cet acte il a souligné la nécessité d’un esprit d’ouverture, à accepter les autres langues. «Car l’essentiel c’est de ne pas négliger sa propre culture» a-t-il confié.
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