Pour le rapport d’audit 2008 qui a été présenté cette après midi, l’Armp distingue 3 catégories de fautes :
Dans un premier temps, le Directeur de l’Armp a estimé qu’il y a des fautes de bonne foi, qui ont donc été commises par ignorance des dispositions du code des marchés.
Dans un deuxième cas, M. Sakho a indiqué qu’il y a des fautes préméditées. « Il n’est point besoin de vous dire qu’il y a des fautes planifiées » a-t-il soutenu.
Dans la troisième catégorie, le Directeur de l’Armp a souligné qu’il y a des dysfonctionnements à caractère institutionnel, dus à des obstacles découlant de certaines incohérences que l’on relève dans le code des marchés. Ce qui semble normal selon lui. Car dans le code des marchés, il y a par exemple, des autorités d’approbation pour certaines autorités contractantes où il est difficile d’identifier l’autorité d’approbation. En effet, elles n’ont pas de Conseil d’administration. Pour l’illustrer, M. Sakho prend le cas des universités où on a un établissement public doté d’une personnalité morale, qui est composée de facultés elles-mêmes dotées de personnalités morales.
C’est la raison pour laquelle, il a estimé qu’il y a des choses qu’il faut corriger. Et cette institution ne tarde pas à s’y mettre. « Nous sommes en train de nous y atteler » a dit M. Sakho.
L’Armp ne peut pas punir mais elle peut saisir qui de droit
« Notre rôle se limite à transmettre les rapports pertinents aux autorités judiciaires, administratives, à la Cour des Compte pour que ces institutions puissent faire leur travail » a déclaré d’emblée le Directeur de l’Armp.
Toutefois, en ce qui la concerne, l’Armp a des domaines d’intervention comme la formation et le coaching.
« En ce qui nous concerne, les dysfonctionnements qui ont été relevés, et qui sont dus à des faiblesses de capacité au niveau des cellules de gestion des marchés, feront l’objet de traitement par la formation et le coaching que nous avons l’intention de consolider au sein des autorités contractantes».
Dans un premier temps, le Directeur de l’Armp a estimé qu’il y a des fautes de bonne foi, qui ont donc été commises par ignorance des dispositions du code des marchés.
Dans un deuxième cas, M. Sakho a indiqué qu’il y a des fautes préméditées. « Il n’est point besoin de vous dire qu’il y a des fautes planifiées » a-t-il soutenu.
Dans la troisième catégorie, le Directeur de l’Armp a souligné qu’il y a des dysfonctionnements à caractère institutionnel, dus à des obstacles découlant de certaines incohérences que l’on relève dans le code des marchés. Ce qui semble normal selon lui. Car dans le code des marchés, il y a par exemple, des autorités d’approbation pour certaines autorités contractantes où il est difficile d’identifier l’autorité d’approbation. En effet, elles n’ont pas de Conseil d’administration. Pour l’illustrer, M. Sakho prend le cas des universités où on a un établissement public doté d’une personnalité morale, qui est composée de facultés elles-mêmes dotées de personnalités morales.
C’est la raison pour laquelle, il a estimé qu’il y a des choses qu’il faut corriger. Et cette institution ne tarde pas à s’y mettre. « Nous sommes en train de nous y atteler » a dit M. Sakho.
L’Armp ne peut pas punir mais elle peut saisir qui de droit
« Notre rôle se limite à transmettre les rapports pertinents aux autorités judiciaires, administratives, à la Cour des Compte pour que ces institutions puissent faire leur travail » a déclaré d’emblée le Directeur de l’Armp.
Toutefois, en ce qui la concerne, l’Armp a des domaines d’intervention comme la formation et le coaching.
« En ce qui nous concerne, les dysfonctionnements qui ont été relevés, et qui sont dus à des faiblesses de capacité au niveau des cellules de gestion des marchés, feront l’objet de traitement par la formation et le coaching que nous avons l’intention de consolider au sein des autorités contractantes».
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