Alors qu’elles avaient jusque-là l’habitude d’être élues dans un fauteuil, certaines figures du palais Bourbon ont mordu la poussière dimanche dernier. Ce fut notamment le cas des ténors socialistes, Jean-Christophe Cambadélis et Jean Glavany, candidats tous deux à un cinquième mandat et éliminés dès le premier tour.
Conscients du risque, certains de leurs collègues avaient préféré eux ne pas se représenter, à l’image des anciens Premiers ministres Bernard Cazeneuve, Jean-Marc Ayrault et François Fillon. A l’image également des deux derniers présidents de l’Assemblée nationale Claude Bartolone et Bernard Accoyer.
La fin du cumul
D’autres comme Laurent Wauquiez, Jean-François Copé ou Patrick Balkany ont préféré quitter l’Assemblée pour conserver leur mandat local car la loi sur le non-cumul des mandats s’applique pour la première fois lors de ce scrutin. Désormais un parlementaire ne peut plus exercer une fonction exécutive locale.
Conséquence directe : le palais Bourbon va profondément se renouveler. Mais aussi se rajeunir et se féminiser. Les partis ont investi quasiment autant de femmes que d’hommes pour ce scrutin. La raison ? Les pénalités financières ont doublé pour les formations qui ne respectaient pas la parité. Résultat : elles pourraient être plus de 40% dans la nouvelle Assemblée contre à peine 27% auparavant.
Conscients du risque, certains de leurs collègues avaient préféré eux ne pas se représenter, à l’image des anciens Premiers ministres Bernard Cazeneuve, Jean-Marc Ayrault et François Fillon. A l’image également des deux derniers présidents de l’Assemblée nationale Claude Bartolone et Bernard Accoyer.
La fin du cumul
D’autres comme Laurent Wauquiez, Jean-François Copé ou Patrick Balkany ont préféré quitter l’Assemblée pour conserver leur mandat local car la loi sur le non-cumul des mandats s’applique pour la première fois lors de ce scrutin. Désormais un parlementaire ne peut plus exercer une fonction exécutive locale.
Conséquence directe : le palais Bourbon va profondément se renouveler. Mais aussi se rajeunir et se féminiser. Les partis ont investi quasiment autant de femmes que d’hommes pour ce scrutin. La raison ? Les pénalités financières ont doublé pour les formations qui ne respectaient pas la parité. Résultat : elles pourraient être plus de 40% dans la nouvelle Assemblée contre à peine 27% auparavant.
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