Dans un communiqué de presse parvenu à notre rédaction, le MSU a déclaré que la situation actuelle faite de coupures d’électricité nous rappelle que les délestages ne sont pas un mauvais souvenir pour les populations Sénégalaises.
A en croire les camarades de Massène Niang, «le plus inquiétant» dans tout cela est que le pseudo régime libéral semble être non seulement à bout de solutions, mais également d’arguments, lorsque ses tenants «invoquent la vétusté des centrales, alors que des centaines de milliards de l’argent» des Sénégalais ont été engloutis dans des opérations nébuleuses de financement du secteur.
Selon eux, l’on serait tenté d’applaudir quand le nouveau ministre de l’énergie commandite un audit global du secteur, mais cette ardeur est vite refroidie quand on nous annonce dans la même foulée la liste des auditeurs. Car le MSU estime que nul ne sait aujourd’hui la logique qui a conduit au choix des cabinets d’audit.
Les locataires de Castors se disent convaincus que le peuple sénégalais est aujourd’hui averti que le mal de la SENELEC, c’est son système d’approvisionnement. Mais, regrettent-ils «nos libéraux n’en ont cure et continuent d’encourager un libéralisme sauvage, déshumanisé qui ne profite qu’à une catégorie d’affairistes voraces». C’est pourquoi, le mouvement pour le socialisme et l’unité rappelle que les règles de bonne gouvernance voudraient que l’on implique la société civile, à travers ses experts en la matière, dans la consultation. Puisque selon Massène Niang et ses camarades font remarquer que «la situation de l’énergie est trop grave pour être laissée aux mains d’amateurs».
A en croire les camarades de Massène Niang, «le plus inquiétant» dans tout cela est que le pseudo régime libéral semble être non seulement à bout de solutions, mais également d’arguments, lorsque ses tenants «invoquent la vétusté des centrales, alors que des centaines de milliards de l’argent» des Sénégalais ont été engloutis dans des opérations nébuleuses de financement du secteur.
Selon eux, l’on serait tenté d’applaudir quand le nouveau ministre de l’énergie commandite un audit global du secteur, mais cette ardeur est vite refroidie quand on nous annonce dans la même foulée la liste des auditeurs. Car le MSU estime que nul ne sait aujourd’hui la logique qui a conduit au choix des cabinets d’audit.
Les locataires de Castors se disent convaincus que le peuple sénégalais est aujourd’hui averti que le mal de la SENELEC, c’est son système d’approvisionnement. Mais, regrettent-ils «nos libéraux n’en ont cure et continuent d’encourager un libéralisme sauvage, déshumanisé qui ne profite qu’à une catégorie d’affairistes voraces». C’est pourquoi, le mouvement pour le socialisme et l’unité rappelle que les règles de bonne gouvernance voudraient que l’on implique la société civile, à travers ses experts en la matière, dans la consultation. Puisque selon Massène Niang et ses camarades font remarquer que «la situation de l’énergie est trop grave pour être laissée aux mains d’amateurs».
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