C'est son avocat qui a annoncé le renvoi lundi de la séance de la cour d'appel de Tripoli au 29 janvier, faute de la présence du prévenu qui est emprisonnée à Mitiga à Tripoli depuis 2012.
« Les forces sécuritaires n'appliquent toujours pas la décision de la justice et refusent de le conduire au tribunal », indique son avocat qui affirme que la connexion prévue pour la visioconférence n'a pas été établie non plus. Il espère que son client puisse en bénéficier lors de la prochaine séance.
Atteint d'un cancer, la famille Senoussi a appelé à plusieurs reprises à accélérer son jugement où à le libérer pour des raisons de santé. Elle accuse l’actuel pouvoir de vouloir le laisser mourir en prison, car il détiendrait les mêmes secrets que le colonel Kadhafi. Et ce serait donc, selon ses proches, Washington et Londres qui sont les instigateurs la pérennisation de sa détention.
Par ailleurs, Mansour Daou, autre cacique de l'ancien régime jugé dans la même affaire a été entendu, lui, en visioconférence depuis sa prison à Misrata.
La semaine dernière, plusieurs manifestations ont eu lieu en Libye, réclamant la libération des responsables de l'ancien régime qui n'ont, jusqu'à aujourd'hui, pas eu le droit d'être jugé.
« Les forces sécuritaires n'appliquent toujours pas la décision de la justice et refusent de le conduire au tribunal », indique son avocat qui affirme que la connexion prévue pour la visioconférence n'a pas été établie non plus. Il espère que son client puisse en bénéficier lors de la prochaine séance.
Atteint d'un cancer, la famille Senoussi a appelé à plusieurs reprises à accélérer son jugement où à le libérer pour des raisons de santé. Elle accuse l’actuel pouvoir de vouloir le laisser mourir en prison, car il détiendrait les mêmes secrets que le colonel Kadhafi. Et ce serait donc, selon ses proches, Washington et Londres qui sont les instigateurs la pérennisation de sa détention.
Par ailleurs, Mansour Daou, autre cacique de l'ancien régime jugé dans la même affaire a été entendu, lui, en visioconférence depuis sa prison à Misrata.
La semaine dernière, plusieurs manifestations ont eu lieu en Libye, réclamant la libération des responsables de l'ancien régime qui n'ont, jusqu'à aujourd'hui, pas eu le droit d'être jugé.
Autres articles
-
L'Égypte dément avoir mené des frappes aériennes au Soudan, pays voisin en guerre
-
Crises de 2002 et 2010 en Côte d’Ivoire: «Le résultat des enquêtes de la CPI est vraiment fondamental»
-
Soudan: un chef paramilitaire sanctionné par les États-Unis pour trafic d'armes
-
Est de la RDC: à Goma, l’interdiction de naviguer de nuit suite à un naufrage dramatique fait débat
-
Ghana: levée du préavis de grève illimitée après des avancées sur le dossier de l'orpaillage illégal