Le président de la Banque mondiale, Robert b zoellick a soutenu que «ces nouveaux engagements financiers allaient aider les pays africains à intensifier la prévention, les soins et les programmes de traitement contre le paludisme au cours des trois prochaines années, et de réduire fortement le nombre de décès et de maladies liées au paludisme qui touchent leurs communautés chaque année».
L’envoyé spécial de l’ONU pour le paludisme, M Chambers, a lors d’une conférence de presse aux cotés des ministres de la santé béninois et nigérian, magnifié le geste de la banque mondiale et exhorté les pays africains à faire de cette lutte une priorité.
«Le lancement aujourd’hui par la Banque mondiale de la phase II de son programme d’accélération de la lutte contre le paludisme est une étape importante dans la lutte contre les décès liés au paludisme, plus particulièrement dans les pays d’Afrique gravement touchés. Les Nations Unies ont lancé un appel en faveur d’une couverture universelle pour la prévention et le traitement du paludisme d’ici 2010, et le programme d’accélération de la Banque mondiale nous rapproche de cet objectif», a déclaré M. Chambers. Les relations fluctueuses avec les partenaires internationaux sont saluées par le président du conseil d’administration du fonds mondial Rajat Gupta. Il a confirmé que la Banque mondiale et ses partenaires internationaux peuvent enregistrer des avancés spectaculaires contre cette maladie en Afrique.
«lutter contre les décès liés à cette maladie constitue une priorité d’ordre économique nous», a révélé, Jeff Sachs, professeur d’économie à l’Université de Columbia et directeur du « Earth Institute ».
Selon le vice président de la Banque mondiale section Afrique Obiageli Ezekwesili, le programme d’accélération de la lutte contre le paludisme vise à soutenir les systèmes de santé publique dans leurs efforts de prévention et de traitement du paludisme, cela en réponse aux demandes exprimées par les donateurs et les groupes partenaires.
Cités parmi les pays les plus touchés par cette maladie avec un taux de 30 à 40% de décès liés au paludisme dans le monde, la phase 2 aura comme objectif l’amélioration du système de santé publique au Nigeria et en République Démocratique du Congo (RDC) par la fourniture de traitements aux populations rurales pauvres, la distribution de moustiquaires.
Ce geste est approuvé par la directrice exécutive du partenariat «faire reculer le paludisme», Awa Marie Colle Seck qui a déclaré : «si des partenaires formidables comme la Banque mondiale, le Fonds mondial et les Nations Unies travaillent en étroite collaboration avec des pays tels que le Nigeria et la RDC, leurs efforts collectifs peuvent contribuer de manière significative à atteindre les objectifs du Plan d’Action Global contre le paludisme (GMAP)». Elle a expliqué entre autre que le but recherché est l’élimination voire l’éradication de cette maladie.
C’est dans cette lancée que le Ministre de la santé nigérian, Hassan lawal a étalé son plan d’action qui sera la couverture de toute la population en danger entre 2010 et 2015 et qui mènera plus tard, a-t-il poursuivi, à l’élimination de la malaria dans cette zone. Cette deuxième phase de lutte contre le paludisme en Afrique permettra de se doter de plus de moyens eu vue de réduire les conséquences de cette maladie dans ce continent.
L’envoyé spécial de l’ONU pour le paludisme, M Chambers, a lors d’une conférence de presse aux cotés des ministres de la santé béninois et nigérian, magnifié le geste de la banque mondiale et exhorté les pays africains à faire de cette lutte une priorité.
«Le lancement aujourd’hui par la Banque mondiale de la phase II de son programme d’accélération de la lutte contre le paludisme est une étape importante dans la lutte contre les décès liés au paludisme, plus particulièrement dans les pays d’Afrique gravement touchés. Les Nations Unies ont lancé un appel en faveur d’une couverture universelle pour la prévention et le traitement du paludisme d’ici 2010, et le programme d’accélération de la Banque mondiale nous rapproche de cet objectif», a déclaré M. Chambers. Les relations fluctueuses avec les partenaires internationaux sont saluées par le président du conseil d’administration du fonds mondial Rajat Gupta. Il a confirmé que la Banque mondiale et ses partenaires internationaux peuvent enregistrer des avancés spectaculaires contre cette maladie en Afrique.
«lutter contre les décès liés à cette maladie constitue une priorité d’ordre économique nous», a révélé, Jeff Sachs, professeur d’économie à l’Université de Columbia et directeur du « Earth Institute ».
Selon le vice président de la Banque mondiale section Afrique Obiageli Ezekwesili, le programme d’accélération de la lutte contre le paludisme vise à soutenir les systèmes de santé publique dans leurs efforts de prévention et de traitement du paludisme, cela en réponse aux demandes exprimées par les donateurs et les groupes partenaires.
Cités parmi les pays les plus touchés par cette maladie avec un taux de 30 à 40% de décès liés au paludisme dans le monde, la phase 2 aura comme objectif l’amélioration du système de santé publique au Nigeria et en République Démocratique du Congo (RDC) par la fourniture de traitements aux populations rurales pauvres, la distribution de moustiquaires.
Ce geste est approuvé par la directrice exécutive du partenariat «faire reculer le paludisme», Awa Marie Colle Seck qui a déclaré : «si des partenaires formidables comme la Banque mondiale, le Fonds mondial et les Nations Unies travaillent en étroite collaboration avec des pays tels que le Nigeria et la RDC, leurs efforts collectifs peuvent contribuer de manière significative à atteindre les objectifs du Plan d’Action Global contre le paludisme (GMAP)». Elle a expliqué entre autre que le but recherché est l’élimination voire l’éradication de cette maladie.
C’est dans cette lancée que le Ministre de la santé nigérian, Hassan lawal a étalé son plan d’action qui sera la couverture de toute la population en danger entre 2010 et 2015 et qui mènera plus tard, a-t-il poursuivi, à l’élimination de la malaria dans cette zone. Cette deuxième phase de lutte contre le paludisme en Afrique permettra de se doter de plus de moyens eu vue de réduire les conséquences de cette maladie dans ce continent.
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