Quand l’injustice acquiert force de loi, la résistance devient un devoir !
Comme l’eau du robinet qu’on laisse couler à perte alors qu’ailleurs d’autres crèvent de soif. Les jours passent, les mois, on se retourne croyant que nous avons franchi des étapes importantes. Pensant qu’on a atteint l’âge d’or de la politique au Sénégal. Malheureusement, on se rend compte finalement que rien n’a bougé, et qu’on est resté au point de départ. Erreur : on est retourné en arrière.
Mais c’est parce que c’est elle qui détermine le reste, règle le destin de notre pays, fixe nos priorités, organise notre présent, anticipe notre avenir, nous avons toutes les raisons de nous inquiéter, d’être sceptiques sur la capacité des hommes qui nous gouvernent actuellement à nous sortir du précipice. Au lieu de précipiter la chute au fond de l’abime.
La méchanceté suppose un goût à faire du mal ; la médisance est le soulagement de la malignité ; les mauvaises paroles sont dites par les hommes mauvais et les hommes mauvais tiennent des propos mauvais. Il faut donc absolument être un nain d’esprit, tel Seydina BOUGAZELY pour ressusciter la peine de mort. Et dire qu’il se croit intelligemment intelligent ce nabot inapte à la danse de l’esprit.
Son parti dont le chef est confortablement installé dans le fauteuil présidentiel aurait, certainement une funeste ambition de mener le meurtrier de Ndiaga DIOUF, à la guillotine en s’abstenant, à dessein, de tenir en compte le caractère de la non rétroactivité de la loi nouvelle. La liquidation de Dias fils, serait une sérieuse option, depuis ses sorties intempestives contre le Président Macky SALL. L’abrogation de la peine de mort demeure, à jamais, un acquis démocratique et il serait illusoire de tenter des actions pour revenir sur les faits.
Le président Macky SALL et son gouvernement, dont les pratiques intolérables qu’ils nous imposent depuis un certain temps non prescrits, émeut plus d’un Sénégalais digne de ce nom.
Ceux qui nous gouvernent sont en train d'enlever à ce peuple son seul motif de fierté dans le concert des nations. Nous vivons dans la république des privilégiés à qui on tolère tout, et des citoyens de seconde zone qu'on accable de tout. Quand vous choisissez d'être gouverné par un nul et un goinfre, il ne peut s'entourer de nuls et de vautours comme lui.
La fibre patriotique, au jour le jour se meurt, l’engagement au travail bien fait devient utopique, la gestion sobre et vertueuse devient un concept creux déchargé de toute substance. La conséquence inévitable, si rien n’est fait, sera bien sûr l’effondrement de l’Etat.
La montée d’un cran de la tension sociale, la multiplication des interpellations d’hommes politiques, la persistance des règlements de comptes politiques, l’instrumentalisation éhontée de la justice, les coups bas, la crise de confiance visible à tout bout de champ heurtent de front la perspective d’un avenir porteur pour le Sénégal et indiquent de façon précise que le Sénégal est malade.
Il est inconcevable que jusqu’à présent, nos hommes politiques espèrent béatement exercer le pouvoir qui est un rôle extraordinaire en menant tous les jours, une vie ordinaire empreinte de médiocrité et d’amateurisme. Il y a là un besoin de parallélisme de formes.
Le manque d’orientation et le sentiment de délaissement et de déréliction s’érigent en cause de cette déchéance pesante. Le fossé entre les dirigeants qui ont montré leurs limites et le petit peuple ne cesse de s’élargir. Pour s’en convaincre, le discours des officiels n’a jamais eu d’écho parmi les masses populaires qui ne croient qu’au concret. Ainsi les discours triomphalistes et imposteurs du président Macky SALL s’avèrent révolus devant la volonté populaire orientée vers le changement.
A force de tatonner, d’hésiter et finalement de montrer un manque d’assurance, le président Macky SALL finit par perdre du crédit.
Président Macky SALL la colère gronde toujours. Le chômage, le népotisme érigé comme mode de gouvernance et les déséquilibres économiques sont aux racines de cette colère. Les signes de changement et les perspectives de développement ne sont pas au rendez-vous. Tous les indices économiques clignotent au rouge. La vie a de fois et réserve un comportement abject, renfrogné, hostile, de mauvais augure, scandaleusement et ignoblement cruel, lugubre, de très, très mauvais goût.
Comme l’eau du robinet qu’on laisse couler à perte alors qu’ailleurs d’autres crèvent de soif. Les jours passent, les mois, on se retourne croyant que nous avons franchi des étapes importantes. Pensant qu’on a atteint l’âge d’or de la politique au Sénégal. Malheureusement, on se rend compte finalement que rien n’a bougé, et qu’on est resté au point de départ. Erreur : on est retourné en arrière.
Mais c’est parce que c’est elle qui détermine le reste, règle le destin de notre pays, fixe nos priorités, organise notre présent, anticipe notre avenir, nous avons toutes les raisons de nous inquiéter, d’être sceptiques sur la capacité des hommes qui nous gouvernent actuellement à nous sortir du précipice. Au lieu de précipiter la chute au fond de l’abime.
La méchanceté suppose un goût à faire du mal ; la médisance est le soulagement de la malignité ; les mauvaises paroles sont dites par les hommes mauvais et les hommes mauvais tiennent des propos mauvais. Il faut donc absolument être un nain d’esprit, tel Seydina BOUGAZELY pour ressusciter la peine de mort. Et dire qu’il se croit intelligemment intelligent ce nabot inapte à la danse de l’esprit.
Son parti dont le chef est confortablement installé dans le fauteuil présidentiel aurait, certainement une funeste ambition de mener le meurtrier de Ndiaga DIOUF, à la guillotine en s’abstenant, à dessein, de tenir en compte le caractère de la non rétroactivité de la loi nouvelle. La liquidation de Dias fils, serait une sérieuse option, depuis ses sorties intempestives contre le Président Macky SALL. L’abrogation de la peine de mort demeure, à jamais, un acquis démocratique et il serait illusoire de tenter des actions pour revenir sur les faits.
Le président Macky SALL et son gouvernement, dont les pratiques intolérables qu’ils nous imposent depuis un certain temps non prescrits, émeut plus d’un Sénégalais digne de ce nom.
Ceux qui nous gouvernent sont en train d'enlever à ce peuple son seul motif de fierté dans le concert des nations. Nous vivons dans la république des privilégiés à qui on tolère tout, et des citoyens de seconde zone qu'on accable de tout. Quand vous choisissez d'être gouverné par un nul et un goinfre, il ne peut s'entourer de nuls et de vautours comme lui.
La fibre patriotique, au jour le jour se meurt, l’engagement au travail bien fait devient utopique, la gestion sobre et vertueuse devient un concept creux déchargé de toute substance. La conséquence inévitable, si rien n’est fait, sera bien sûr l’effondrement de l’Etat.
La montée d’un cran de la tension sociale, la multiplication des interpellations d’hommes politiques, la persistance des règlements de comptes politiques, l’instrumentalisation éhontée de la justice, les coups bas, la crise de confiance visible à tout bout de champ heurtent de front la perspective d’un avenir porteur pour le Sénégal et indiquent de façon précise que le Sénégal est malade.
Il est inconcevable que jusqu’à présent, nos hommes politiques espèrent béatement exercer le pouvoir qui est un rôle extraordinaire en menant tous les jours, une vie ordinaire empreinte de médiocrité et d’amateurisme. Il y a là un besoin de parallélisme de formes.
Le manque d’orientation et le sentiment de délaissement et de déréliction s’érigent en cause de cette déchéance pesante. Le fossé entre les dirigeants qui ont montré leurs limites et le petit peuple ne cesse de s’élargir. Pour s’en convaincre, le discours des officiels n’a jamais eu d’écho parmi les masses populaires qui ne croient qu’au concret. Ainsi les discours triomphalistes et imposteurs du président Macky SALL s’avèrent révolus devant la volonté populaire orientée vers le changement.
A force de tatonner, d’hésiter et finalement de montrer un manque d’assurance, le président Macky SALL finit par perdre du crédit.
Président Macky SALL la colère gronde toujours. Le chômage, le népotisme érigé comme mode de gouvernance et les déséquilibres économiques sont aux racines de cette colère. Les signes de changement et les perspectives de développement ne sont pas au rendez-vous. Tous les indices économiques clignotent au rouge. La vie a de fois et réserve un comportement abject, renfrogné, hostile, de mauvais augure, scandaleusement et ignoblement cruel, lugubre, de très, très mauvais goût.
Le président Macky SALL nourrit une certaine forme de haine viscérale non contenue à l’encontre de notre secrétaire national, Bara GAYE, un délire parano, méfiant et une confusion du genre. On se demande où se situe la pertinence de son arrestation arbitraire. Serait-ce une manière de raviver les haines, les tensions, les divisions ou encore serait-il tenté d’essayer de sortir de la noyade un pouvoir dont la déchéance est en marche et si proche ?
C’est un secret de polichinelle que de confirmer que Bara GAYE a été arrêté juste pour l’empêcher d’exposer au président Barack OBAMA, la dictature qui sévit de nos jours au Sénégal, un pays tant envié pour sa démocratie et sa liberté d’expression. Car Barack OBAMA va rencontrer le conseil national de la jeunesse dont Bara GAYE est le secrétaire général.
Quand on en vient à instrumentaliser la justice à des fins politiques, quand on en vient à arrêter arbitrairement le secrétaire général du conseil national de la jeunesse Sénégalaise, Bara GAYE comme on le ferait pour un garçon de rue, il y a bien sûr danger pour la République.
Ce qui est plus que pathétique ! Dire qu’on se souviendra longtemps de ce régime qui a déçu aussi profondément qu'il a suscité des espoirs lors de son avènement...
La jeunesse libérale en bonne sentinelle veillera sur toutes les actions menées par le gouvernement pour que le Sénégal préserve son profil de pays de respect des libertés et de tradition démocratique. L’émergence économique et le rayonnement du Sénégal à travers le monde demeurent les seules motivations de notre militantisme engagé.
UJTL GUEDIAWAYE
Bassirou Mbacké Diatta
Chargé de Communication UJTL
Tel 77 559 09 71
Bass.mbacké@yahoo.fr
C’est un secret de polichinelle que de confirmer que Bara GAYE a été arrêté juste pour l’empêcher d’exposer au président Barack OBAMA, la dictature qui sévit de nos jours au Sénégal, un pays tant envié pour sa démocratie et sa liberté d’expression. Car Barack OBAMA va rencontrer le conseil national de la jeunesse dont Bara GAYE est le secrétaire général.
Quand on en vient à instrumentaliser la justice à des fins politiques, quand on en vient à arrêter arbitrairement le secrétaire général du conseil national de la jeunesse Sénégalaise, Bara GAYE comme on le ferait pour un garçon de rue, il y a bien sûr danger pour la République.
Ce qui est plus que pathétique ! Dire qu’on se souviendra longtemps de ce régime qui a déçu aussi profondément qu'il a suscité des espoirs lors de son avènement...
La jeunesse libérale en bonne sentinelle veillera sur toutes les actions menées par le gouvernement pour que le Sénégal préserve son profil de pays de respect des libertés et de tradition démocratique. L’émergence économique et le rayonnement du Sénégal à travers le monde demeurent les seules motivations de notre militantisme engagé.
UJTL GUEDIAWAYE
Bassirou Mbacké Diatta
Chargé de Communication UJTL
Tel 77 559 09 71
Bass.mbacké@yahoo.fr
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