Le président malgache Marc Ravalomanana en exil en Afrique du Sud, à Pretoria, le 9 mai 2009.
Ce devait être la réunion qui scellerait les modalités du retour de Lalao Ravalomanana. Au terme de celle-ci aucun des participants n’a voulu s’exprimer. « Il n’y a pas encore d’accord », admet-on du côté de la mouvance de Marc Ravalomanana.
Des opposants qui depuis le début de cette affaire, s’insurgent contre les conditions qui sont demandées, notamment par Andry Rajoelina, pour permettre ce retour. La femme de l’ancien président n’a pas été condamnée en justice, rappellent-ils. Une citoyenne de droit commun devrait pouvoir rentrer chez elle comme n’importe quel Malgache.
Il y a une semaine, la femme de l’ancien président a été refoulée à l’aéroport de Johannesburg alors qu’elle tentait de prendre un vol régulier. L’origine de ce retour avorté reste confuse. Mais les conditions du feu vert du président de la transition, ont toujours été claires : un vol privé, des déplacements encadrés par des gardes du corps et surtout, pas de déclaration politique.
Source : Rfi.fr
Des opposants qui depuis le début de cette affaire, s’insurgent contre les conditions qui sont demandées, notamment par Andry Rajoelina, pour permettre ce retour. La femme de l’ancien président n’a pas été condamnée en justice, rappellent-ils. Une citoyenne de droit commun devrait pouvoir rentrer chez elle comme n’importe quel Malgache.
Il y a une semaine, la femme de l’ancien président a été refoulée à l’aéroport de Johannesburg alors qu’elle tentait de prendre un vol régulier. L’origine de ce retour avorté reste confuse. Mais les conditions du feu vert du président de la transition, ont toujours été claires : un vol privé, des déplacements encadrés par des gardes du corps et surtout, pas de déclaration politique.
Source : Rfi.fr
Autres articles
-
Les cas de Mpox augmentent de plus de 500% en Afrique, touchant 19 pays (CDC Afrique)
-
Présidentielle américaine: les accusations de fraudes électorales mettent les assesseurs sous pression
-
Tchad: l'armée accusée d'avoir tué des dizaines de pêcheurs du Borno lors des représailles contre Boko Haram
-
Au Niger, des proches de Bazoum et des chefs rebelles inscrits dans un fichier sécuritaire
-
Crimes contre des journalistes: des cas toujours recensés au Mali et au Burkina Faso