Le ministre français des Affaires étrangères était en visite à Bamako, la capitale malienne, au lendemain de l’adoption par le Conseil des ministres du Mali d’un projet de loi confirmant la date du 28 juillet pour le premier tour de l’élection présidentielle. Laurent Fabius a réaffirmé qu'il fallait "qu'on puisse voter partout au Mali" lors de ce scrutin. "Pour la France, il est évident qu'il ne peut y avoir deux pays dans un même pays. Les dispositions seront prises pour qu'à Kidal, on puisse voter comme partout ailleurs", a déclaré le chef de la diplomatie française, arrivé mardi après-midi à Bamako en provenance de Niamey.
Vous savez qu'il y a des discussions qui se déroulent actuellement. Je souhaite que ces discussions aboutissent rapidement", a ajouté Laurent Fabius dont c'est la deuxième visite au Mali en deux mois. Des négociations ont en effet lieu à Ouagadougou pour trouver un accord pour la tenue du scrutin dans la région de Kidal (nord-est), contrôlée par la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) qui refuse la présence de l'armée et de l'administration.
Vous savez qu'il y a des discussions qui se déroulent actuellement. Je souhaite que ces discussions aboutissent rapidement", a ajouté Laurent Fabius dont c'est la deuxième visite au Mali en deux mois. Des négociations ont en effet lieu à Ouagadougou pour trouver un accord pour la tenue du scrutin dans la région de Kidal (nord-est), contrôlée par la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) qui refuse la présence de l'armée et de l'administration.
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