Dans un communiqué, Médecins sans frontières impute les brutalités subies par son personnel à Nampala à « des hommes armés menant régulièrement des opérations militaires dans la zone », sans préciser son propos.
MSF dit être la seule ONG internationale active dans ce secteur du Mali où elle dispense « des soins médicaux gratuits vitaux » à la population locale ainsi qu'aux personnes déplacées par le conflit. Sauf qu'à cause de l'insécurité, « MSF a dû prendre la difficile décision de suspendre temporairement ses activités médicales dans la zone de Nampala, privant la population de soins essentiels », rapporte l'ONG.
Des discussions sont en cours pour permettre à MSF de rependre ses activités, une fois que les conditions seront réunies, comme l'explique Aïssami Abdou, coordinateur des opérations de MSF pour l'Afrique de l'Ouest.
« Ça fait deux ans que nous travaillons dans la zone de Nampala, une zone extrêmement excentrée, compliquée d'accès, avec des besoins sanitaires importants. Parce que nous sommes quand même dans une zone en proie à des conflits depuis de longues années. Nous avons eu un incident sévère qui a impliqué nos équipes médicales, qui ont été prises à partie violemment pour la première fois par des hommes armés », rapporte-t-il.
« Aussi, nos équipes ont été témoins de comportements extrêmement compliqués vis-à-vis de la population sur place. Il y a du personnel du ministère de la Santé avec qui nous travaillons qui a été aussi violenté et vandalisé », poursuit-il.
MSF dit être la seule ONG internationale active dans ce secteur du Mali où elle dispense « des soins médicaux gratuits vitaux » à la population locale ainsi qu'aux personnes déplacées par le conflit. Sauf qu'à cause de l'insécurité, « MSF a dû prendre la difficile décision de suspendre temporairement ses activités médicales dans la zone de Nampala, privant la population de soins essentiels », rapporte l'ONG.
Des discussions sont en cours pour permettre à MSF de rependre ses activités, une fois que les conditions seront réunies, comme l'explique Aïssami Abdou, coordinateur des opérations de MSF pour l'Afrique de l'Ouest.
« Ça fait deux ans que nous travaillons dans la zone de Nampala, une zone extrêmement excentrée, compliquée d'accès, avec des besoins sanitaires importants. Parce que nous sommes quand même dans une zone en proie à des conflits depuis de longues années. Nous avons eu un incident sévère qui a impliqué nos équipes médicales, qui ont été prises à partie violemment pour la première fois par des hommes armés », rapporte-t-il.
« Aussi, nos équipes ont été témoins de comportements extrêmement compliqués vis-à-vis de la population sur place. Il y a du personnel du ministère de la Santé avec qui nous travaillons qui a été aussi violenté et vandalisé », poursuit-il.
Autres articles
-
Bénin: des députés évaluent l'action de l'État dans les zones en proie aux attaques terroristes
-
Les groupes miniers producteurs de platinoïdes face à la crise en Afrique du Sud
-
En Côte d'Ivoire, le décret pour dissoudre les associations syndicales étudiantes est adopté
-
Attaque de Boko Haram: la société civile prépare un plan d'action pour sécuriser le lac Tchad
-
Génocide des Tutsis au Rwanda: Eugène Rwamucyo condamné à 27 ans de prison