Le Premier ministre malien Diango Cissoko (ici en janvier 2013) a dirigé le Comité de suivi de l'organisation des prochaines élections. REUTERS/Eric Gaillard
Pour l’organisation des élections de juillet prochain, il faut au moins 50 milliards de francs CFA. Selon Moussa Sinko Coulibaly, ministre malien de l'Administration territoriale, le financement est bouclé. « Nous avons suffisamment de financement à ce jour pour nous permettre d’envisager sereinement les échéances de juillet afin de conduire les élections, a-t-il affirmé. Bien évidemment, celles-ci auront lieu sur l’ensemble du territoire national ».
Peut-on vraiment organiser les élections au mois de juillet 2013 ? Le ministre est catégorique : « Nous n’avons aucun doute par rapport à cette date ».
Fichier biométrique
Environ 6,9 millions d’électeurs seront inscrits sur les listes électorales et pour éviter les fraudes massives. Le fichier sera biométrique. On verra donc en principe la photo des électeurs inscrits. Ensuite, le Mali envisage d’organiser la présidentielle avant les législatives.
Mais comment pourront voter les populations déplacées ? « Nous allons permettre aux déplacés de pouvoir nous dire exactement où ils veulent voter afin de pouvoir les inscrire », a expliqué le ministre malien de l’Administration territoriale. Reste le cas de milliers de Maliens réfugiés, notamment dans les pays voisins : « Nous sommes en contact avec la Mauritanie et l’Algérie, le Niger et le Burkina Faso afin de voir dans quelles conditions nous allons permettre aux Maliens qui ont été obligés de quitter leur pays, de pouvoir participer aux opérations de vote de juillet », a conclu Moussa Sinko Coulibaly.
Source: RFI
Peut-on vraiment organiser les élections au mois de juillet 2013 ? Le ministre est catégorique : « Nous n’avons aucun doute par rapport à cette date ».
Fichier biométrique
Environ 6,9 millions d’électeurs seront inscrits sur les listes électorales et pour éviter les fraudes massives. Le fichier sera biométrique. On verra donc en principe la photo des électeurs inscrits. Ensuite, le Mali envisage d’organiser la présidentielle avant les législatives.
Mais comment pourront voter les populations déplacées ? « Nous allons permettre aux déplacés de pouvoir nous dire exactement où ils veulent voter afin de pouvoir les inscrire », a expliqué le ministre malien de l’Administration territoriale. Reste le cas de milliers de Maliens réfugiés, notamment dans les pays voisins : « Nous sommes en contact avec la Mauritanie et l’Algérie, le Niger et le Burkina Faso afin de voir dans quelles conditions nous allons permettre aux Maliens qui ont été obligés de quitter leur pays, de pouvoir participer aux opérations de vote de juillet », a conclu Moussa Sinko Coulibaly.
Source: RFI
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