Abdoulaye Daouda Diallo a compris le message de Macky Sall. Le chef de l’État ayant décliné les grandes lignes de l’interdiction de ma manifestation de l’opposition, le ministre Abdoulaye Daouda Diallo s’est chargé de jeter la patate chaude dans les mains du préfet et du gouverneur.
Selon le ministre de l'Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo, « cela va être difficile à partir d’un document de travailler à interdire des manifestations ; une manifestation relève de l’autorité du gouverneur ou du préfet et même du sous-préfet par moments. C’est à ces autorités d’apprécier les informations fournies à leur niveau et d’en donner une suite favorable ou non ».
Le ministre de l’Intérieur ne s’est pas gêné par ailleurs pour donner sa position sur la faisabilité du meeting initié par les membres de l’opposition pour le 21 novembre prochain. « Il faut constater que nous allons vers un sommet particulièrement important qui va nécessiter que nous fassions nos efforts ailleurs plutôt que dans l’encadrement de manifestations. Dans tous les cas, c’est à elles de voir de la recevabilité. Et si ce n’est pas le cas, nécessairement, ces manifestations ne seront pas autorisées et n’auront pas lieu non plus. Parce que, quand même, l’État restera un État fort, un État de droit où toute la rigueur du droit sera appliquée » avertit le ministre de l’Intérieur.
Selon le ministre de l'Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo, « cela va être difficile à partir d’un document de travailler à interdire des manifestations ; une manifestation relève de l’autorité du gouverneur ou du préfet et même du sous-préfet par moments. C’est à ces autorités d’apprécier les informations fournies à leur niveau et d’en donner une suite favorable ou non ».
Le ministre de l’Intérieur ne s’est pas gêné par ailleurs pour donner sa position sur la faisabilité du meeting initié par les membres de l’opposition pour le 21 novembre prochain. « Il faut constater que nous allons vers un sommet particulièrement important qui va nécessiter que nous fassions nos efforts ailleurs plutôt que dans l’encadrement de manifestations. Dans tous les cas, c’est à elles de voir de la recevabilité. Et si ce n’est pas le cas, nécessairement, ces manifestations ne seront pas autorisées et n’auront pas lieu non plus. Parce que, quand même, l’État restera un État fort, un État de droit où toute la rigueur du droit sera appliquée » avertit le ministre de l’Intérieur.
Autres articles
-
Législatives 2024 : Amadou Ba appelle à une fin de campagne pacifique
-
Arrestation de proches de Samm Sa Kaddu : Mansour Faye exige leur libération sans condition
-
Campagne électorale : Barthelemy Dias faits des révélations sur son passé avec Ousmane Sonko
-
Ousmane Sonko dénonce les attaques contre ses militants et interpelle le Président Bassirou Diomaye Faye
-
« Pastef a pris le parti de la violence et des attaques criminelles », (Thierno Bocoum)