"Bing a dépassé les 100 millions d'utilisateurs actifs au quotidien et le nombre d'installations de l'application mobile a été multiplié par quatre depuis le lancement", a déclaré Yusuf Mehdi, vice-président du géant américain de l'informatique.
"En conséquence, la part de marché de Bing grandit et celle de notre navigateur Edge progresse pour le huitième trimestre d'affilée", a-t-il ajouté, cité dans un communiqué.
Microsoft prend sa revanche sur Google, après des années de domination de son moteur de recherche éponyme, de son navigateur Chrome et aussi de l'innovation dans l'intelligence artificielle.
Les deux entreprises se sont lancées cet hiver dans une course effrénée à l'IA générative, depuis qu'OpenAI a mis en ligne ChatGPT, une interface capable de produire toutes sortes de textes sur simple requête en langage naturel. Mais le succès de ChatGPT, Bing, Bard (Google) et d'autres programmes soulève de nombreuses questions, de la propriété intellectuelle aux dangers en matière de désinformation, de fraudes ou de remplacement de nombreux emplois par l'IA.
En Europe et aux Etats-Unis, les autorités réfléchissent à des moyens de réguler l'industrie en pleine explosion.
Principal investisseur d'OpenAI, Microsoft a ajouté à Bing le dernier modèle de langage de la start-up californienne, GPT-4, transformant ainsi la recherche en ligne en un dialogue avec un chatbot.
"En 90 jours, nos clients ont eu plus de 500.000 conversations, et se sont servis de Bing pour obtenir des réponses calibrées sur toutes sortes de sujets, du meilleur endroit pour aller en vacances avec quelqu'un qui est allergique au pollen, à un résumé sous forme de tableau de l'activité volcanique sur terre depuis dix ans", a vanté Yusuf Mehdi.
Le dirigeant a dévoilé différentes améliorations censées transformer les interfaces numériques en "copilote" des internautes.
Depuis peu, Bing peut aussi générer des images, et les utilisateurs pourront bientôt lui faire des demandes en images, pour trouver des contenus similaires, par exemple.
Sur Edge, la fenêtre de discussion avec Bing va rester active pendant la navigation, et les utilisateurs pourront consulter l'historique de leurs discussions.
En février Microsoft avait limité le nombre d'interactions d'affilée avec Bing pour éviter de causer de la "confusion pour le modèle", après que le chatbot ait déclaré son amour à un reporter du New York Times.
"En conséquence, la part de marché de Bing grandit et celle de notre navigateur Edge progresse pour le huitième trimestre d'affilée", a-t-il ajouté, cité dans un communiqué.
Microsoft prend sa revanche sur Google, après des années de domination de son moteur de recherche éponyme, de son navigateur Chrome et aussi de l'innovation dans l'intelligence artificielle.
Les deux entreprises se sont lancées cet hiver dans une course effrénée à l'IA générative, depuis qu'OpenAI a mis en ligne ChatGPT, une interface capable de produire toutes sortes de textes sur simple requête en langage naturel.
En Europe et aux Etats-Unis, les autorités réfléchissent à des moyens de réguler l'industrie en pleine explosion.
Principal investisseur d'OpenAI, Microsoft a ajouté à Bing le dernier modèle de langage de la start-up californienne, GPT-4, transformant ainsi la recherche en ligne en un dialogue avec un chatbot.
"En 90 jours, nos clients ont eu plus de 500.000 conversations, et se sont servis de Bing pour obtenir des réponses calibrées sur toutes sortes de sujets, du meilleur endroit pour aller en vacances avec quelqu'un qui est allergique au pollen, à un résumé sous forme de tableau de l'activité volcanique sur terre depuis dix ans", a vanté Yusuf Mehdi.
Le dirigeant a dévoilé différentes améliorations censées transformer les interfaces numériques en "copilote" des internautes.
Depuis peu, Bing peut aussi générer des images, et les utilisateurs pourront bientôt lui faire des demandes en images, pour trouver des contenus similaires, par exemple.
Sur Edge, la fenêtre de discussion avec Bing va rester active pendant la navigation, et les utilisateurs pourront consulter l'historique de leurs discussions.
En février Microsoft avait limité le nombre d'interactions d'affilée avec Bing pour éviter de causer de la "confusion pour le modèle", après que le chatbot ait déclaré son amour à un reporter du New York Times.
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