Barack Obama a appelé à rejeter le cynisme selon lequel certains pays sont condamnés à une pauvreté perpétuelle. « A vous, dirigeants des pays en voie de développement vous devez également prendre vos responsabilités. Nous voulons votre prospérité et votre succès. C’est votre intérêt et le nôtre. Nous voulons vous aider à réaliser vos objectifs. Mais on ne peut pas se mettre à votre place. Vous seuls pouvez faire les choix difficiles qui permettront d’accroitre le dynanisme de vos pays. Vous seuls pouvez faire les investissements durables qui améliorer la santé et le bien-être de vos populations. Vous seuls pouvez offrir à vos pays un futur plus juste et plus prospère ».
Il n’y a pas que des points négatifs dans le bilan de ce sommet pour les pays du continent africain. Qu’ils soient à la tête d’un Etat africain ou non, tous les chefs d’Etat et de gouvernement qui se sont succédé à la tribune ont été unanimes : il faut reconnaître que sur le plan de l’éducation, de l’égalité homme-femme ou de l’accès à l’eau potable, l'Afrique notamment a réalisé de vrais progrès. Mais la santé, la mortalité maternelle et infantile restent des points sombres du tableau et pour parvenir à atteindre les objectifs fixés, nombreux sont les dirigeants et ministres africains à avoir sollicité la mise en place d’un partenariat mondial pour l’aide au développement.
Vers un partenariat choisi
L’intervention de Barak Obama aux Nations unies a dû avoir l’effet d’une douche froide pour un bon nombre d’entre de chefs d'Etat. Le président américain a dévoilé sa nouvelle politique en la matière. Loin d’un partenariat global, les Etats-Unis entendent désormais choisir les pays qui méritent de recevoir leur aide et donc décider d’une certaine manière ceux qui pourront se hisser au rang de pays émergents.
« Pour atteindre nos objectifs nous devons être plus sélectifs et concentrer nos efforts là où nous avons les meilleurs partenaires et où nous pouvons avoir le plus grand impact » a souligné le président américain.
Les Etats-Unis, a-t-il précisé, aideront en priorité les pays en transition démocratique et qui sortent de conflits armés : « Nous avons besoin d'autre chose que de l'aide pour que la situation change. Nous devons utiliser tous les leviers à notre disposition, de la diplomatie au commerce jusqu'aux investissements » à l'étranger. « Pour atteindre nos objectifs nous devons être plus sélectifs et concentrer nos efforts là où nous avons les meilleurs partenaires et où nous pouvons avoir le plus grand impact »a ajouté le président américain.
A un mois et demi des élections de mi-mandat, et alors que son pays tarde à se relever de la crise financière, Barak Obama a tout intérêt à faire preuve de cohérence et d’une gestion des finances publiques américaines dignes d’un bon père de famille.
Il n’y a pas que des points négatifs dans le bilan de ce sommet pour les pays du continent africain. Qu’ils soient à la tête d’un Etat africain ou non, tous les chefs d’Etat et de gouvernement qui se sont succédé à la tribune ont été unanimes : il faut reconnaître que sur le plan de l’éducation, de l’égalité homme-femme ou de l’accès à l’eau potable, l'Afrique notamment a réalisé de vrais progrès. Mais la santé, la mortalité maternelle et infantile restent des points sombres du tableau et pour parvenir à atteindre les objectifs fixés, nombreux sont les dirigeants et ministres africains à avoir sollicité la mise en place d’un partenariat mondial pour l’aide au développement.
Vers un partenariat choisi
L’intervention de Barak Obama aux Nations unies a dû avoir l’effet d’une douche froide pour un bon nombre d’entre de chefs d'Etat. Le président américain a dévoilé sa nouvelle politique en la matière. Loin d’un partenariat global, les Etats-Unis entendent désormais choisir les pays qui méritent de recevoir leur aide et donc décider d’une certaine manière ceux qui pourront se hisser au rang de pays émergents.
« Pour atteindre nos objectifs nous devons être plus sélectifs et concentrer nos efforts là où nous avons les meilleurs partenaires et où nous pouvons avoir le plus grand impact » a souligné le président américain.
Les Etats-Unis, a-t-il précisé, aideront en priorité les pays en transition démocratique et qui sortent de conflits armés : « Nous avons besoin d'autre chose que de l'aide pour que la situation change. Nous devons utiliser tous les leviers à notre disposition, de la diplomatie au commerce jusqu'aux investissements » à l'étranger. « Pour atteindre nos objectifs nous devons être plus sélectifs et concentrer nos efforts là où nous avons les meilleurs partenaires et où nous pouvons avoir le plus grand impact »a ajouté le président américain.
A un mois et demi des élections de mi-mandat, et alors que son pays tarde à se relever de la crise financière, Barak Obama a tout intérêt à faire preuve de cohérence et d’une gestion des finances publiques américaines dignes d’un bon père de famille.
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