Le 30 octobre dernier, les chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’
Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS), inauguraient la centrale hydroélectrique de Felou, à Kayes (Mali) avec un coût global de 120 milliards de Fcfa. Cependant, cet ouvrage n’alimente que les trois Etats à savoir le Mali, la Mauritanie et le Sénégal. Interrogé sur cette question, ce dimanche 15 novembre, lors de l’émission Grand Jury de la Rfm, le Haut commissaire de l’OMVS, Mohamed Salem Ould Merzoug a fait savoir que, «notre objectif est d’interconnecter la Guinée au Réseau Interconnecté de Manantali (RIMA) qui existe déjà et qui est le plus grand réseau interconnecté d’Afrique (1650Km). Il alimente la Mauritanie, le Sénégal et le Mali».
Selon lui, la première étape en ce qui concerne la République de Guinée est d’abord de l’interconnecter à ce réseau là, ensuite elle va participer de cette répartition d’hydroélectricité et puis l’ouvrage de Coucout-Tamba, dont je viens de parler qui a une puissance installée de 285Mw, est en Guinée. L’ancien Ministre Mauritanien de l’hydraulique et de la sécurité alimentaire a soutenu que, «la Guinée qui est devenu un Etat membre de l’OMVS a le même droit que les autres Etats anciens».
Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS), inauguraient la centrale hydroélectrique de Felou, à Kayes (Mali) avec un coût global de 120 milliards de Fcfa. Cependant, cet ouvrage n’alimente que les trois Etats à savoir le Mali, la Mauritanie et le Sénégal. Interrogé sur cette question, ce dimanche 15 novembre, lors de l’émission Grand Jury de la Rfm, le Haut commissaire de l’OMVS, Mohamed Salem Ould Merzoug a fait savoir que, «notre objectif est d’interconnecter la Guinée au Réseau Interconnecté de Manantali (RIMA) qui existe déjà et qui est le plus grand réseau interconnecté d’Afrique (1650Km). Il alimente la Mauritanie, le Sénégal et le Mali».
Selon lui, la première étape en ce qui concerne la République de Guinée est d’abord de l’interconnecter à ce réseau là, ensuite elle va participer de cette répartition d’hydroélectricité et puis l’ouvrage de Coucout-Tamba, dont je viens de parler qui a une puissance installée de 285Mw, est en Guinée. L’ancien Ministre Mauritanien de l’hydraulique et de la sécurité alimentaire a soutenu que, «la Guinée qui est devenu un Etat membre de l’OMVS a le même droit que les autres Etats anciens».
Autres articles
-
Gestion des recettes issues des industries extractives en 2022 : les troublantes révélations de la Cour des comptes
-
Dette publique du Sénégal : une hausse de 15 % prévue en 2024 (Rapport)
-
Croissance économique : Le Sénégal parmi les leaders mondiaux en 2025 (rapport)
-
Sénégal : la dette extérieure atteint 32,8 milliards de dollars en 2023, avec une hausse de la dette privée
-
Sénégal : Le ministère des Finances dément des allégations sur une levée de fonds infructueuse et menace de poursuites