Donald Kaberuka (Photo:grioo.com)
Le président de la Banque Africaine de Développement, Donald Kaberuka, a plaidé pour une aide des pays à faible revenu ou dits fragiles. Selon les participants africains, une résolution efficace de la crise financière va de paire avec la stabilité des pays africains et une unité du continent noir.
L’Afrique a raison d’être optimiste, si elle prend de bonnes décisions a déclaré Kaberuka. La crise nous apprend quelque chose, l’intégration africaine est une nécessité. Il faut que les banques soutiennent les pays fragiles à étendre leur activités afin de réduire leurs dettes dira-t-il.
Selon le président de la Commission de l’union africaine, la concrétisation des plans d’actions annoncés dépende de la volonté des partenaires et de la mise en œuvre des accords. Tout en espérant que toutes ces mesures vont tirer l’Afrique de cette crise, Jean Ping a évoqué des préalables. De son avis, la démocratie contribue à la stabilité du continent. Il a donnée l’exemple de la Mauritanie et de la Guinée.
Il faut d’abord résoudre les conflits ethniques et inter-étatiques. Aussi, a-t-il souligné, le phénomène de la piraterie maritime en Somalie et celui de la drogue est un frein à l’économie du continent. C’est une drogue qui ne profite pas à l’Afrique car venant de l’Amérique latine, transite vers notre continent pour être une source de financement pour les pays riche a estimé Jean Ping.
Revenant sur ces propositions d’hier sur le système de quota spécial et des Droits de tirages spéciaux (DTS) spécialement pour l’Afrique, le président de la république du Sénégal a appelé à un regroupement dans un espace commun du continent, les Etats-Unis d’Afrique. «On a rien à perdre dans les Etats-Unis d’Afrique et le Sénégal est prêt à se fondre dans cette unité» a-t-il insisté. Selon lui, il ya de profonds désaccords surtout pour l’Afrique de l’Ouest.
Le chef de l’Etat sénégalais s’est, par ailleurs, félicité de la nouvelle dimension que le président du groupe de la Banque Africaine de Développement, Kaberuka, a donné à la structure avec «ses importantes ressources financières".
L’Afrique a raison d’être optimiste, si elle prend de bonnes décisions a déclaré Kaberuka. La crise nous apprend quelque chose, l’intégration africaine est une nécessité. Il faut que les banques soutiennent les pays fragiles à étendre leur activités afin de réduire leurs dettes dira-t-il.
Selon le président de la Commission de l’union africaine, la concrétisation des plans d’actions annoncés dépende de la volonté des partenaires et de la mise en œuvre des accords. Tout en espérant que toutes ces mesures vont tirer l’Afrique de cette crise, Jean Ping a évoqué des préalables. De son avis, la démocratie contribue à la stabilité du continent. Il a donnée l’exemple de la Mauritanie et de la Guinée.
Il faut d’abord résoudre les conflits ethniques et inter-étatiques. Aussi, a-t-il souligné, le phénomène de la piraterie maritime en Somalie et celui de la drogue est un frein à l’économie du continent. C’est une drogue qui ne profite pas à l’Afrique car venant de l’Amérique latine, transite vers notre continent pour être une source de financement pour les pays riche a estimé Jean Ping.
Revenant sur ces propositions d’hier sur le système de quota spécial et des Droits de tirages spéciaux (DTS) spécialement pour l’Afrique, le président de la république du Sénégal a appelé à un regroupement dans un espace commun du continent, les Etats-Unis d’Afrique. «On a rien à perdre dans les Etats-Unis d’Afrique et le Sénégal est prêt à se fondre dans cette unité» a-t-il insisté. Selon lui, il ya de profonds désaccords surtout pour l’Afrique de l’Ouest.
Le chef de l’Etat sénégalais s’est, par ailleurs, félicité de la nouvelle dimension que le président du groupe de la Banque Africaine de Développement, Kaberuka, a donné à la structure avec «ses importantes ressources financières".
Autres articles
-
Tchad : le Président Mahamat Idriss Déby promu maréchal
-
Mali: 26 personnes tuées dans des attaques jihadistes près de Bandiagara
-
Le Burkina Faso adopte une loi d’amnistie pour les auteurs du putsch de 2015
-
Guerre au Soudan: plus de 780 civils tués par des paramilitaires à El-Fasher, selon l'ONU
-
Guinée: la recherche des disparus du stade de N'Zérékoré se poursuit