Le ministre des Pêches effectuait mardi, une visite au quai de pêche de Hann et sur le site de transformation des produits halieutiques Pencumm Sénégal à Thiaroye-sur-mer. Prenant la parole, Mme Fatou Diouf a fait savoir que « les seuls bateaux autorisés sont ceux de l’Union européenne et qui sont moins nombreux que ceux de la pêche artisanale ».
selon elle, les pavillons étrangers autres que ceux de l’Union européenne qui sillonnent, les eaux sénégalaises opèrent dans la clandestinité. Le ministre appelle ce sujet à l’effort commun pour un système de gestion plus satisfaisant du secteur de la pêche.
D’après Fatou Diouf, dans le cadre des accords de pêche, il n’y a presque pas de bateaux étrangers. À moins que ce ne soit des pavillons qui opèrent de manière illicite fait remarquer Fatou Diouf soulignant que tous les acteurs de la pêche doivent faire des efforts. « Si nous combinons l’ensemble des efforts, nous aurons un système de gestion qui sera satisfaisant pour tout le monde », a -t-elle expliqué.
À Hann, Fatou Diouf s’est émue du visage hideux du quai de pêche, devenu par la force des choses, « le réceptacle de déchets » provenant de la baie de Hann, mais aussi d’une partie du littoral. « C’est la raison pour laquelle même lorsque vous nettoyez, quelques heures plus tard, vous allez retrouver la même situation. Mais ce n’est pas une raison aussi pour baisser les bras », fait- elle valoir.
selon elle, les pavillons étrangers autres que ceux de l’Union européenne qui sillonnent, les eaux sénégalaises opèrent dans la clandestinité. Le ministre appelle ce sujet à l’effort commun pour un système de gestion plus satisfaisant du secteur de la pêche.
D’après Fatou Diouf, dans le cadre des accords de pêche, il n’y a presque pas de bateaux étrangers. À moins que ce ne soit des pavillons qui opèrent de manière illicite fait remarquer Fatou Diouf soulignant que tous les acteurs de la pêche doivent faire des efforts. « Si nous combinons l’ensemble des efforts, nous aurons un système de gestion qui sera satisfaisant pour tout le monde », a -t-elle expliqué.
À Hann, Fatou Diouf s’est émue du visage hideux du quai de pêche, devenu par la force des choses, « le réceptacle de déchets » provenant de la baie de Hann, mais aussi d’une partie du littoral. « C’est la raison pour laquelle même lorsque vous nettoyez, quelques heures plus tard, vous allez retrouver la même situation. Mais ce n’est pas une raison aussi pour baisser les bras », fait- elle valoir.
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