Il a fait cette déclaration à l'issue d'une rencontre jeudi à Paris avec le président français François Hollande.
L'adversaire de M. Ouattara lors de la présidentielle de 2010, Laurent Gbagbo, et le chef des "jeunes patriotes" Charles Blé Goudé comparaissent actuellement devant la cour pénale internationale pour leur rôle présumé dans la crise postélectorale qui avait fait plus de 3.000 morts.
Les partisans de Laurent Gbagbo estiment que la CPI tarde à enquêter sur les auteurs des violences au sein du camp d'Alassane Ouattara et dénoncent une "justice des vainqueurs". Le président ivoirien a rejeté l'accusation.
Par ailleurs, la Côte d'Ivoire n'envisage pas de se retirer de la CPI, a souligné M. Ouattara.
Dimanche, les dirigeants africains réunis au siège de l'Union africaine à Addis Abeba ont soutenu l'idée d'un retrait commun de la CPI, lui reprochant de "s'acharner" sur l'Afrique.
Source: BBC Afrique
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