Lors de la campagne électorale, pour la présidentielle, j’avais exposé un vaste catalogue de projets réalistes, réalisables et destinées à changer la vie de millions de Sénégalais. Je proposais une révolution de notre façon de produire, de nous soigner, d’éduquer nos enfants… Un des points forts de mon programme était : Faire du Sénégal la clinique de l’Afrique de l’Ouest.
Un volet essentiel, qui me tenait à cœur, et que je voulais matérialiser rapidement était de mettre en place des « cliniques mobiles », basées sur une plate-forme digitale offrant d’autres services et opérées par un personnel militaire. Des solutions pour un financement rapide étaient avancées. La vente de l’avion présidentielle en est une. Le Président de la République du Sénégal ne peut pas faire moins que le Roi du Maroc, qui n’utilisait pas un avion propre.
L’exemple de Cuba, entres autres, montre qu’une bonne politique de Santé doit se fonder sur la prévention et l’encadrement des populations à la base. Des pathologies qui font des ravages au Sénégal, en particulier dans le monde rural, peuvent être sinon éradiquées, du moins largement contenues par une bonne politique de prévention : diabète, hypertension, glaucome et pathologies voisines, divers cancers touchant en particulier les femmes.
J’appelle les autorités actuelles à s’inscrire dans cette dynamique. Elles semblent encore à la recherche d’idées de programme. En voilà une qui est facile à mettre en œuvre, sachant que le coût d’un voyage du Président de la République représente une part significative du financement de ces « cliniques mobiles ». Si le Burkina Faso, plongé dans une grave crise, a pu mettre en œuvre ce type de projets, alors tout reste à notre portée.
Un volet essentiel, qui me tenait à cœur, et que je voulais matérialiser rapidement était de mettre en place des « cliniques mobiles », basées sur une plate-forme digitale offrant d’autres services et opérées par un personnel militaire. Des solutions pour un financement rapide étaient avancées. La vente de l’avion présidentielle en est une. Le Président de la République du Sénégal ne peut pas faire moins que le Roi du Maroc, qui n’utilisait pas un avion propre.
L’exemple de Cuba, entres autres, montre qu’une bonne politique de Santé doit se fonder sur la prévention et l’encadrement des populations à la base. Des pathologies qui font des ravages au Sénégal, en particulier dans le monde rural, peuvent être sinon éradiquées, du moins largement contenues par une bonne politique de prévention : diabète, hypertension, glaucome et pathologies voisines, divers cancers touchant en particulier les femmes.
J’appelle les autorités actuelles à s’inscrire dans cette dynamique. Elles semblent encore à la recherche d’idées de programme. En voilà une qui est facile à mettre en œuvre, sachant que le coût d’un voyage du Président de la République représente une part significative du financement de ces « cliniques mobiles ». Si le Burkina Faso, plongé dans une grave crise, a pu mettre en œuvre ce type de projets, alors tout reste à notre portée.
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