D’emblée, la coalition Diomaye Président a posé le débat sur le modèle économique qu’elle va mettre en place. Pour les partisans de Diomaye, il faut mettre en place économique endogène d’industrialisation par substitution aux importations. Par conséquent, poursuit la coalition Diomaye, « il se construit prioritairement sur l’impératif d’un développement par l’industrialisation. Ce modèle aura pour fondements : l’agriculture comme rampe de lancement, l’Industrie comme relais et la Finance au service du développement ».
Pour rationaliser les dispositifs de financements, BNDE, FONSIS, FONGIP, DER, toutes ces structures de financements seront substituées par la création d’une seule et unique banque publique d’investissement du Sénégal (BPIS).
Mise en place du livret économique patriotique
La coalition Diomaye entend aussi mettre en place le « Livret d’épargne du patriotisme économique populaire » pour les particuliers pour le financement des petites et moyennes entreprises locales ou régionales.
Dans cette rubrique, il est également fait état de la mise en place « des dispositifs permettant de mettre la puissance financière de la diaspora au service de la renaissance économique et sociale du Sénégal. Pour cela, des filiales de la Banque publique d’investissement du Sénégal (BPIS) seront ouvertes dans la diaspora ».
S’inspirant du modèle allemand, « nous mettrons en place un système bancaire public inspiré du modèle allemand pour relever le niveau de bancarisation du pays et maitriser le circuit de financement de l’économie par la création d’une Banque Postale qui devra compter sur le réseau d’agences du Groupe La Poste, déjà bien implantées dans tout le pays », ont souligné les membres de l’équipe de la coalition.
Une politique budgétaire rationalisant les dépenses publiques
Sur le plan sectoriel, notamment dans la politique budgétaire, la coalition Diomaye Président affirme imposer une approche de développement à partir des pôles territoires, dont les potentialités seront exploitées à bon escient. « Nous imposerons aux collectivités territoriales l’élaboration de Plans Locaux de Développement (PLD). Ces PLD seront articulés et mis en cohérence pour élaborer le plan national de développement à l’horizon 2050. Nous inclurons les fonds du PUMA, PUDC et PACASEN dans le fonds d’investissement des collectivités territoriales et ferons la répartition par priorité définie par les populations » a promis la coalition Diomaye Président.
De plus, poursuit le document de programme, « nous mettrons en place un « Conseil des Finances Publiques » composé de hauts magistrats financiers et de personnalités qualifiées. Rattachée à la Cour des comptes, cette instance sera chargée de rendre un avis sur le réalisme des prévisions économiques du Gouvernement et la cohérence des objectifs annuels avec les objectifs pluriannuels des finances publiques. Nous renforcerons la Cour des Comptes dans ses missions d’assistance de l’Assemblée nationale dans le contrôle de l’exécution des Lois de finances ».
La coalition Diomaye, pour ce volet sectoriel, mise en grande partie sur une économie endogène. Celle-ci, arguent ses concepteurs est plus à même de développer le Sénégal.
Pour rationaliser les dispositifs de financements, BNDE, FONSIS, FONGIP, DER, toutes ces structures de financements seront substituées par la création d’une seule et unique banque publique d’investissement du Sénégal (BPIS).
Mise en place du livret économique patriotique
La coalition Diomaye entend aussi mettre en place le « Livret d’épargne du patriotisme économique populaire » pour les particuliers pour le financement des petites et moyennes entreprises locales ou régionales.
Dans cette rubrique, il est également fait état de la mise en place « des dispositifs permettant de mettre la puissance financière de la diaspora au service de la renaissance économique et sociale du Sénégal. Pour cela, des filiales de la Banque publique d’investissement du Sénégal (BPIS) seront ouvertes dans la diaspora ».
S’inspirant du modèle allemand, « nous mettrons en place un système bancaire public inspiré du modèle allemand pour relever le niveau de bancarisation du pays et maitriser le circuit de financement de l’économie par la création d’une Banque Postale qui devra compter sur le réseau d’agences du Groupe La Poste, déjà bien implantées dans tout le pays », ont souligné les membres de l’équipe de la coalition.
Une politique budgétaire rationalisant les dépenses publiques
Sur le plan sectoriel, notamment dans la politique budgétaire, la coalition Diomaye Président affirme imposer une approche de développement à partir des pôles territoires, dont les potentialités seront exploitées à bon escient. « Nous imposerons aux collectivités territoriales l’élaboration de Plans Locaux de Développement (PLD). Ces PLD seront articulés et mis en cohérence pour élaborer le plan national de développement à l’horizon 2050. Nous inclurons les fonds du PUMA, PUDC et PACASEN dans le fonds d’investissement des collectivités territoriales et ferons la répartition par priorité définie par les populations » a promis la coalition Diomaye Président.
De plus, poursuit le document de programme, « nous mettrons en place un « Conseil des Finances Publiques » composé de hauts magistrats financiers et de personnalités qualifiées. Rattachée à la Cour des comptes, cette instance sera chargée de rendre un avis sur le réalisme des prévisions économiques du Gouvernement et la cohérence des objectifs annuels avec les objectifs pluriannuels des finances publiques. Nous renforcerons la Cour des Comptes dans ses missions d’assistance de l’Assemblée nationale dans le contrôle de l’exécution des Lois de finances ».
La coalition Diomaye, pour ce volet sectoriel, mise en grande partie sur une économie endogène. Celle-ci, arguent ses concepteurs est plus à même de développer le Sénégal.
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