Aminata Mbengue N’diaye soutient par ailleurs que c’est l’état qui doit expliquer aux populations les causes de ces dysfonctionnements dans la distribution du courant électrique qui se sont empirées depuis la rupture du contrat signé par le régime socialiste avec le consortium Elio Hydro Québec.
La clameur populaire qui gagne de plus en plus l’intérieur du Sénégal n’épargne point la capitale du Ndiambour, à cause des coupures d’électricité. Et l’édile de la commune, qui exprimait en marge d’un atelier d’information des conseillers municipaux sur le nouveau code des marchés publics, n’a pas voulu se faire prier pour soutenir cette vague de contestations venant de ses populations.
Elle juge que cette lutte est légitime. «Quelqu’un qui dépend du courant électrique pour gagner au jour le jour de l’argent pour sa dépense quotidienne et qui reste pendant des jours sans travailler, c’est légitime voire même humain qu’il manifeste sa désapprobation», se défend Aminata Mbengue Ndiaye qui estime que lerégime de Wade a le devoir d’expliquer aux populations l’origine de ces coupures intempestives d’électricité. «Depuis plus d’une décennie qu’ils (les tenants du pouvoir actuel) essayent de trouver des solutions à la distribution du courant électrique jusqu’à rompre le contrat signé en son temps par le régime socialiste avec le consortium Elio Hydro Québec, le problème demeure », soutient Mme le maire qui se demande : Est-ce que l’Etat a des difficultés pour s’approvisionner ou bien il ne dispose pas d’argent pour acheter du fuel ?
Pour elle, l’état a le devoir de pouvoir expliquer aux populations les causes de ces dysfonctionnements. « Il est du devoir des citoyens de savoir ce qui est entrain de se passer», se justifie l’ancien ministre pour qui les petits commerces des petites et moyennes entreprises éprouvent d’énormes difficultés pour accéder à la dépense quotidienne ; pis au moment de payer la facture d’électricité l’on ne sent nulle part les coupures.
La clameur populaire qui gagne de plus en plus l’intérieur du Sénégal n’épargne point la capitale du Ndiambour, à cause des coupures d’électricité. Et l’édile de la commune, qui exprimait en marge d’un atelier d’information des conseillers municipaux sur le nouveau code des marchés publics, n’a pas voulu se faire prier pour soutenir cette vague de contestations venant de ses populations.
Elle juge que cette lutte est légitime. «Quelqu’un qui dépend du courant électrique pour gagner au jour le jour de l’argent pour sa dépense quotidienne et qui reste pendant des jours sans travailler, c’est légitime voire même humain qu’il manifeste sa désapprobation», se défend Aminata Mbengue Ndiaye qui estime que lerégime de Wade a le devoir d’expliquer aux populations l’origine de ces coupures intempestives d’électricité. «Depuis plus d’une décennie qu’ils (les tenants du pouvoir actuel) essayent de trouver des solutions à la distribution du courant électrique jusqu’à rompre le contrat signé en son temps par le régime socialiste avec le consortium Elio Hydro Québec, le problème demeure », soutient Mme le maire qui se demande : Est-ce que l’Etat a des difficultés pour s’approvisionner ou bien il ne dispose pas d’argent pour acheter du fuel ?
Pour elle, l’état a le devoir de pouvoir expliquer aux populations les causes de ces dysfonctionnements. « Il est du devoir des citoyens de savoir ce qui est entrain de se passer», se justifie l’ancien ministre pour qui les petits commerces des petites et moyennes entreprises éprouvent d’énormes difficultés pour accéder à la dépense quotidienne ; pis au moment de payer la facture d’électricité l’on ne sent nulle part les coupures.
Pour amortir leurs souffrances causées par ces coupures d’électricité, la responsable des femmes socialistes par ailleurs maire de Louga suggère aux artisans et aux petits métiers qui dépendent du courant électrique de se constituer en association pour se doter de groupe électrogène. Selon l’édile, la municipalité ne ménagera aucun effort pour leur venir en aide.
La clameur populaire qui gagne de plus en plus l’intérieur du Sénégal n’épargne point la capitale du Ndiambour, à cause des coupures d’électricité. Et l’édile de la commune, qui exprimait en marge d’un atelier d’information des conseillers municipaux sur le nouveau code des marchés publics, n’a pas voulu se faire prier pour soutenir cette vague de contestations venant de ses populations.
Elle juge que cette lutte est légitime. «Quelqu’un qui dépend du courant électrique pour gagner au jour le jour de l’argent pour sa dépense quotidienne et qui reste pendant des jours sans travailler, c’est légitime voire même humain qu’il manifeste sa désapprobation», se défend Aminata Mbengue Ndiaye qui estime que lerégime de Wade a le devoir d’expliquer aux populations l’origine de ces coupures intempestives d’électricité. «Depuis plus d’une décennie qu’ils (les tenants du pouvoir actuel) essayent de trouver des solutions à la distribution du courant électrique jusqu’à rompre le contrat signé en son temps par le régime socialiste avec le consortium Elio Hydro Québec, le problème demeure », soutient Mme le maire qui se demande : Est-ce que l’Etat a des difficultés pour s’approvisionner ou bien il ne dispose pas d’argent pour acheter du fuel ?
Pour elle, l’état a le devoir de pouvoir expliquer aux populations les causes de ces dysfonctionnements. « Il est du devoir des citoyens de savoir ce qui est entrain de se passer», se justifie l’ancien ministre pour qui les petits commerces des petites et moyennes entreprises éprouvent d’énormes difficultés pour accéder à la dépense quotidienne ; pis au moment de payer la facture d’électricité l’on ne sent nulle part les coupures.
La clameur populaire qui gagne de plus en plus l’intérieur du Sénégal n’épargne point la capitale du Ndiambour, à cause des coupures d’électricité. Et l’édile de la commune, qui exprimait en marge d’un atelier d’information des conseillers municipaux sur le nouveau code des marchés publics, n’a pas voulu se faire prier pour soutenir cette vague de contestations venant de ses populations.
Elle juge que cette lutte est légitime. «Quelqu’un qui dépend du courant électrique pour gagner au jour le jour de l’argent pour sa dépense quotidienne et qui reste pendant des jours sans travailler, c’est légitime voire même humain qu’il manifeste sa désapprobation», se défend Aminata Mbengue Ndiaye qui estime que lerégime de Wade a le devoir d’expliquer aux populations l’origine de ces coupures intempestives d’électricité. «Depuis plus d’une décennie qu’ils (les tenants du pouvoir actuel) essayent de trouver des solutions à la distribution du courant électrique jusqu’à rompre le contrat signé en son temps par le régime socialiste avec le consortium Elio Hydro Québec, le problème demeure », soutient Mme le maire qui se demande : Est-ce que l’Etat a des difficultés pour s’approvisionner ou bien il ne dispose pas d’argent pour acheter du fuel ?
Pour elle, l’état a le devoir de pouvoir expliquer aux populations les causes de ces dysfonctionnements. « Il est du devoir des citoyens de savoir ce qui est entrain de se passer», se justifie l’ancien ministre pour qui les petits commerces des petites et moyennes entreprises éprouvent d’énormes difficultés pour accéder à la dépense quotidienne ; pis au moment de payer la facture d’électricité l’on ne sent nulle part les coupures.
Pour amortir leurs souffrances causées par ces coupures d’électricité, la responsable des femmes socialistes par ailleurs maire de Louga suggère aux artisans et aux petits métiers qui dépendent du courant électrique de se constituer en association pour se doter de groupe électrogène. Selon l’édile, la municipalité ne ménagera aucun effort pour leur venir en aide.
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