Ce programme est ambitieux. Il est appelé à accompagner l’offensive militaire lancée dans l’est du pays. Quinze ministères font partie du comité de pilotage, lequel est chapeauté par le président de la République. Après l’évaluation, les actions concrètes sont toujours attendues sur le terrain.
La délégation dépêchée dans l’est du pays pour l’état de lieux a achevé sa mission. Les besoins actuels ont été cernés. La nouvelle stratégie nationale de DDR est disponible et est en attente de la validation. Une nouvelle cartographie des groupes armés a été élaborée.
La coordination de ce programme se donne comme objectif de démobiliser au moins 100 000 hommes armés cette année, dont 10 000 pour le premier trimestre.
Pour ce faire, il faut dès ce mois de janvier aménager et viabiliser les sites destinés au regroupement et ceux réservés au désarmement, à la démobilisation et à la réinsertion.
Ces opérations sont censées commencer avec les combattants qui se sont déjà rendus et qui sont regroupés à Rumangabo, Kalunguta, Biruwe ou encore Mubambiro.
Il y a aussi la problématique des combattants étrangers, à sensibiliser, démobiliser et rapatrier dans leurs pays d’origine.
Ce programme attend toujours les premiers financements de la part du gouvernement. Ce qui n’est pas encore fait.
La délégation dépêchée dans l’est du pays pour l’état de lieux a achevé sa mission. Les besoins actuels ont été cernés. La nouvelle stratégie nationale de DDR est disponible et est en attente de la validation. Une nouvelle cartographie des groupes armés a été élaborée.
La coordination de ce programme se donne comme objectif de démobiliser au moins 100 000 hommes armés cette année, dont 10 000 pour le premier trimestre.
Pour ce faire, il faut dès ce mois de janvier aménager et viabiliser les sites destinés au regroupement et ceux réservés au désarmement, à la démobilisation et à la réinsertion.
Ces opérations sont censées commencer avec les combattants qui se sont déjà rendus et qui sont regroupés à Rumangabo, Kalunguta, Biruwe ou encore Mubambiro.
Il y a aussi la problématique des combattants étrangers, à sensibiliser, démobiliser et rapatrier dans leurs pays d’origine.
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