L’une des principales informations apportées par le rapport sur le développement économique en Afrique 2010 est que «la Chine devient la principale source d’aide bilatérale à l’Afrique pour l’infrastructure et les secteurs de production».
M.. Norbert Lebalé, qui a présenté ce rapport 2010 a soutenu que les engagements chinois de financement des infrastructures dans l’Afrique subsaharienne sont montés en flèche, passant de 470 millions de dollars en 2001 à 4,5 millions en 2007 ». Ce qui donne des estimations de «54% pour la période 2002-2007 de l’aide de la chine consacrée à l’infrastructure et aux travaux publics».
D’après les experts de la CNUCED, le commerce total des marchandises est passé de 25 milliards en 2004 à 93 milliards en 2008. Tandis que sur la même période, celui de l’Inde est passé de 9 à 31 milliards de dollars et celui du Brésil de 8 à 23 milliards.
Cependant, le rapport indique que les nouvelles tendances ne doivent pas être considérées comme circonscrites à la Chine et à l’Afrique ». Aussi, M. Lebalé a ajouté que « les relations économiques de plus en plus nombreuses entre ces deux partenaires s’inscrivent dans une tendance plus large à l’intention des relations de l’Afrique avec le sud, en particulier avec les pays émergents dotés d’une économie puissante et dynamique».
Avec cette place de la Chine sur le marché africain, M. Lebalé a lancé un message pour que cette puissance montante du Sud tienne compte des conditions de bonnes gouvernances et des droits de l’homme dans ses projets avec les pays du continent africain.
M.. Norbert Lebalé, qui a présenté ce rapport 2010 a soutenu que les engagements chinois de financement des infrastructures dans l’Afrique subsaharienne sont montés en flèche, passant de 470 millions de dollars en 2001 à 4,5 millions en 2007 ». Ce qui donne des estimations de «54% pour la période 2002-2007 de l’aide de la chine consacrée à l’infrastructure et aux travaux publics».
D’après les experts de la CNUCED, le commerce total des marchandises est passé de 25 milliards en 2004 à 93 milliards en 2008. Tandis que sur la même période, celui de l’Inde est passé de 9 à 31 milliards de dollars et celui du Brésil de 8 à 23 milliards.
Cependant, le rapport indique que les nouvelles tendances ne doivent pas être considérées comme circonscrites à la Chine et à l’Afrique ». Aussi, M. Lebalé a ajouté que « les relations économiques de plus en plus nombreuses entre ces deux partenaires s’inscrivent dans une tendance plus large à l’intention des relations de l’Afrique avec le sud, en particulier avec les pays émergents dotés d’une économie puissante et dynamique».
Avec cette place de la Chine sur le marché africain, M. Lebalé a lancé un message pour que cette puissance montante du Sud tienne compte des conditions de bonnes gouvernances et des droits de l’homme dans ses projets avec les pays du continent africain.
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