Tous en position de défense. Un char à eau et cinq pic up transportant des éléments de police, étaient stationnés sur le site. Aucune force de l’ordre ne circulait aux alentours de la mobilisation pour encadrer les citoyens, les leaders politiques et les militants présents au rassemblement du 23 juillet à la Place de l’Obélisque.
Impossible de connaître le dispositif sécuritaire, les éléments sur place n’ont laissé personne s’approcher du commandant de corps urbain. Nos tentatives ont été vaines.
Constatant qu’aucune sécurité policière ne s’est déployée sur le lieu de rassemblement, le M.23 a pris sa sécurité en charge, avec des hommes habillés de T-shirt noir, avec la mention : « sécurité ». De l’avis de Ousmane Bèye, un dirigeant de la sécurité du M23: « les policiers doivent assurer la sécurité des citoyens. Mais puisse qu’ils (les policiers) se sont mis de l’autre côté, loin de nous, nous sommes là pour le faire».
De l’angle « Goumbeu » à la place Soweto, en passant par Rts et la place de l’indépendance, au centre ville, on pouvait apercevoir dans chaque endroit une dizaine des forces du Gmi, un char de combat et un autre char à eau respectivement devant l’école Malick Sy et à côté de la Bceao.
L’hôtel de ville, le Palais de la République et le siège de la sûreté nationale ne sont pas en reste. Chacune de ces places, a vu la présence de quelques forces de l’ordre pour veiller aux mesures prises par le ministre de l’intérieur de ne pas manifester devant des institutions publiques.
Impossible de connaître le dispositif sécuritaire, les éléments sur place n’ont laissé personne s’approcher du commandant de corps urbain. Nos tentatives ont été vaines.
Constatant qu’aucune sécurité policière ne s’est déployée sur le lieu de rassemblement, le M.23 a pris sa sécurité en charge, avec des hommes habillés de T-shirt noir, avec la mention : « sécurité ». De l’avis de Ousmane Bèye, un dirigeant de la sécurité du M23: « les policiers doivent assurer la sécurité des citoyens. Mais puisse qu’ils (les policiers) se sont mis de l’autre côté, loin de nous, nous sommes là pour le faire».
De l’angle « Goumbeu » à la place Soweto, en passant par Rts et la place de l’indépendance, au centre ville, on pouvait apercevoir dans chaque endroit une dizaine des forces du Gmi, un char de combat et un autre char à eau respectivement devant l’école Malick Sy et à côté de la Bceao.
L’hôtel de ville, le Palais de la République et le siège de la sûreté nationale ne sont pas en reste. Chacune de ces places, a vu la présence de quelques forces de l’ordre pour veiller aux mesures prises par le ministre de l’intérieur de ne pas manifester devant des institutions publiques.
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