Apres un séminaire à huis clos, le Conseil constitutionnel a fait aujourd’hui face à la presse à l’hôtel Méridien Président. Il on conclu par une réforme qui soulève les difficultés liées à la compétence du conseil constitutionnel. Un rapport sera alors envoyé au président de la république Me Wade.
Le séminaire du Conseil constitutionnel qui s’est tenu depuis hier mardi s’achève sur des notes confiances. Les conclusions ont porté sur la nécessité de définir de nouvelles orientations relatives à l’exception d’inconstitutionnalité, l’extension de son domaine de compétences, une reconsidération plus large et flexible de ses compétences d’attribution.
Seulement, le point d’orgue de la conférence de presse a été la recevabilité de la candidature du président Abdoulaye Wade. Cependant, elle n’a pas été évoquée. Les cinq sages ont refusé catégoriquement de se prononcer dessus. Ils ont même tenu à faire savoir que ce séminaire avait été programmé depuis très longtemps. Son organisation n’a, selon les conférenciers, n’est nullement liée au contexte pré-électoral vicié par le débat sur la recevabilité de la candidature de Wade à la prochaine présidentielle. «C’est un vieux projet qui remonte à quatre voire cinq ans que l’on avait initié, mais jamais réalisé jusqu’ici. La manière de fonctionner du Conseil méritait d’être revue, car après 19 ans d’existence, il a été enregistré beaucoup de décisions d’incompétence», a déclaré son président, Cheikh Tidiane Diakhaté.
Toutefois, il a tenu à déclarer aux journalistes qui l’ont assailli de questions sur la recevabilité de la candidature de Wade que «le moment venu on en saura d’avantage. La liste des candidats à la présidentielle sera bientôt déposée».
Le conseil s’est réuni en général pour parler des difficultés qui gangrènent leur compétence. Cependant un rapport sera envoyé au chef de l’Etat qui décidera de leur sort. Reste à savoir s’il en décidera avant ou après les élections.
Le séminaire du Conseil constitutionnel qui s’est tenu depuis hier mardi s’achève sur des notes confiances. Les conclusions ont porté sur la nécessité de définir de nouvelles orientations relatives à l’exception d’inconstitutionnalité, l’extension de son domaine de compétences, une reconsidération plus large et flexible de ses compétences d’attribution.
Seulement, le point d’orgue de la conférence de presse a été la recevabilité de la candidature du président Abdoulaye Wade. Cependant, elle n’a pas été évoquée. Les cinq sages ont refusé catégoriquement de se prononcer dessus. Ils ont même tenu à faire savoir que ce séminaire avait été programmé depuis très longtemps. Son organisation n’a, selon les conférenciers, n’est nullement liée au contexte pré-électoral vicié par le débat sur la recevabilité de la candidature de Wade à la prochaine présidentielle. «C’est un vieux projet qui remonte à quatre voire cinq ans que l’on avait initié, mais jamais réalisé jusqu’ici. La manière de fonctionner du Conseil méritait d’être revue, car après 19 ans d’existence, il a été enregistré beaucoup de décisions d’incompétence», a déclaré son président, Cheikh Tidiane Diakhaté.
Toutefois, il a tenu à déclarer aux journalistes qui l’ont assailli de questions sur la recevabilité de la candidature de Wade que «le moment venu on en saura d’avantage. La liste des candidats à la présidentielle sera bientôt déposée».
Le conseil s’est réuni en général pour parler des difficultés qui gangrènent leur compétence. Cependant un rapport sera envoyé au chef de l’Etat qui décidera de leur sort. Reste à savoir s’il en décidera avant ou après les élections.
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