Invitée de l’émission « Salaam Sénégal » sur Radio Sénégal International (RSI), Aïda Niang, adjointe au maire de Dakar, a vivement critiqué la révocation de Barthélémy Dias de ses fonctions de maire. Elle appelle la Cour d’appel à faire preuve d’impartialité et à rendre justice.
« Ils (les opposants de Barthélémy) savent que si le droit est dit et que rien que le droit est dit, le Préfet sera désavoué par la Cour d’appel parce qu’il n’a pas dit le droit. Ils sont en train de chercher une porte de secours parce qu’en réalité, ils mettent toute leur ambition sur cette Ville de Dakar », a déclaré Aïda Niang.
Pour l’adjointe au maire, l’administration de la Ville de Dakar n’est pas paralysée malgré les manœuvres qu’elle dénonce. « L’administration est une continuité mais ce sont eux qu’ils veulent faire en sorte que le Conseil municipal ne puisse pas se réunir et c’est la raison pour laquelle j’interpelle encore une fois le Préfet en lui disant s’il à la carte de membre de Pastef (parti au pouvoir) qu’il le dise », a-t-elle martelé.
Elle rappelle que la neutralité administrative est essentielle. « Les agissements du Préfet reflètent davantage une allégeance politique qu’un strict respect des devoirs administratifs. Nous voyons un militant qui est en train de répondre en réalité à une commande politique », a accusé Mme Niang.
« La rupture, c’est d’abord la séparation. L’administration, les partis politiques et les militants ont un rôle à jouer. Mais s’il est un militant qu’il l’assume et qu’il laisse notre préfecture », a-t-elle ajouté.
Enfin, Aïda Niang réitère son appel à la Cour d’appel pour qu’elle statue dans les plus brefs délais. « Si le droit est dit, d’ici 10 ou 15 jours, le maire de Dakar retrouvera ses pouvoirs. Le Préfet devra alors se rappeler qu’il est un représentant déconcentré de l’État et non un élu des Dakarois », a-t-elle conclu.
« Ils (les opposants de Barthélémy) savent que si le droit est dit et que rien que le droit est dit, le Préfet sera désavoué par la Cour d’appel parce qu’il n’a pas dit le droit. Ils sont en train de chercher une porte de secours parce qu’en réalité, ils mettent toute leur ambition sur cette Ville de Dakar », a déclaré Aïda Niang.
Pour l’adjointe au maire, l’administration de la Ville de Dakar n’est pas paralysée malgré les manœuvres qu’elle dénonce. « L’administration est une continuité mais ce sont eux qu’ils veulent faire en sorte que le Conseil municipal ne puisse pas se réunir et c’est la raison pour laquelle j’interpelle encore une fois le Préfet en lui disant s’il à la carte de membre de Pastef (parti au pouvoir) qu’il le dise », a-t-elle martelé.
Elle rappelle que la neutralité administrative est essentielle. « Les agissements du Préfet reflètent davantage une allégeance politique qu’un strict respect des devoirs administratifs. Nous voyons un militant qui est en train de répondre en réalité à une commande politique », a accusé Mme Niang.
« La rupture, c’est d’abord la séparation. L’administration, les partis politiques et les militants ont un rôle à jouer. Mais s’il est un militant qu’il l’assume et qu’il laisse notre préfecture », a-t-elle ajouté.
Enfin, Aïda Niang réitère son appel à la Cour d’appel pour qu’elle statue dans les plus brefs délais. « Si le droit est dit, d’ici 10 ou 15 jours, le maire de Dakar retrouvera ses pouvoirs. Le Préfet devra alors se rappeler qu’il est un représentant déconcentré de l’État et non un élu des Dakarois », a-t-elle conclu.
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