Amadou HOTT, Ministre de l'Économie, du Plan et de la Coopération, qui a présidé l’édition 2021 de la Revue annuelle conjointe, communément appelée RAC, ce vendredi a déclaré que cette présente édition, qui porte sur les réalisations de l’année 2020, coïncide avec l’année de lancement du Plan d’action prioritaire (PAP) ajusté et accéléré à la suite d’une crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19. Selon le ministre, dans ce contexte, les résultats enregistrés au niveau économique, se sont traduits par une baisse du rythme de croissance du PIB (Produit intérieur brut) établie à 1,5% en 2020 contre 4,4% l’année précédente.
« L’exercice de la RAC est vraiment l’occasion pour le gouvernement du Sénégal de rendre compte des résultats obtenus, grâce aux ressources mobilisées et dépensées. Pour les acteurs non-étatiques, il s’agit de jeter un regard sans complaisance sur nos politiques publiques. À la suite d’une crise sanitaire, sans précédent liée à la pandémie de Covid19, les résultats enregistrés au niveau économique se sont traduits par une baisse du rythme de croissance du PIB établie à 1,5% en 2020 contre 4,4% l’année précédente. Malgré sa baisse, cette croissance de l’activité économique est perçue comme une performance dans un contexte international marqué par un résultat mondial », à déclaré le ministre Amadou HOTT.
Pour relancer l’économie, le ministre soutient que le « gouvernement a engagé un exercice d’ajustement de son Plan d’action prioritaire 2019-2023 ». Pour lui, l’ambition du président de la République Macky Sall est de remettre le Sénégal sur la trajectoire de croissance forte d’avant Covid-19. Maintenir le cap fixé pour l’émergence au profit des populations.
« Les nouveaux défis apparus sont aujourd’hui liés aux souverainetés sanitaire, pharmaceutique, et alimentaire. Mais également au renforcement de l’investissement public et au développement d’un secteur privé national fort. Mais sans oublier une protection sociale beaucoup plus accrue…Le taux de croissance du PIB réel est projeté pour 2021 à 5% contre une projection initiale de 3,7% à la faveur des efforts d’exécution des investissements structurant et de la reprise de l’économie mondiale. Ces actions prioritaires seront combinées au nouveau programme d’urgence pour l‘emploi et l’insertion des jeunes. Ce programme est doté d’un financement de 450 milliards de F CFA sur 3 ans en raison de 150 milliards pour l’année 2021 », dit-il.
« L’exercice de la RAC est vraiment l’occasion pour le gouvernement du Sénégal de rendre compte des résultats obtenus, grâce aux ressources mobilisées et dépensées. Pour les acteurs non-étatiques, il s’agit de jeter un regard sans complaisance sur nos politiques publiques. À la suite d’une crise sanitaire, sans précédent liée à la pandémie de Covid19, les résultats enregistrés au niveau économique se sont traduits par une baisse du rythme de croissance du PIB établie à 1,5% en 2020 contre 4,4% l’année précédente. Malgré sa baisse, cette croissance de l’activité économique est perçue comme une performance dans un contexte international marqué par un résultat mondial », à déclaré le ministre Amadou HOTT.
Pour relancer l’économie, le ministre soutient que le « gouvernement a engagé un exercice d’ajustement de son Plan d’action prioritaire 2019-2023 ». Pour lui, l’ambition du président de la République Macky Sall est de remettre le Sénégal sur la trajectoire de croissance forte d’avant Covid-19. Maintenir le cap fixé pour l’émergence au profit des populations.
« Les nouveaux défis apparus sont aujourd’hui liés aux souverainetés sanitaire, pharmaceutique, et alimentaire. Mais également au renforcement de l’investissement public et au développement d’un secteur privé national fort. Mais sans oublier une protection sociale beaucoup plus accrue…Le taux de croissance du PIB réel est projeté pour 2021 à 5% contre une projection initiale de 3,7% à la faveur des efforts d’exécution des investissements structurant et de la reprise de l’économie mondiale. Ces actions prioritaires seront combinées au nouveau programme d’urgence pour l‘emploi et l’insertion des jeunes. Ce programme est doté d’un financement de 450 milliards de F CFA sur 3 ans en raison de 150 milliards pour l’année 2021 », dit-il.
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