Le Front pour une Révolution Anti-impérialiste, Populaire et Panafricaine (FRAPP) a fait face à la presse ce mercredi, pour évoquer les sanctions infligées au Mali par la Cedeao. En compagnie d’autres mouvements comme l’Association des Ressortissants de Bougouni et Environs ( ARBE ), l’Association de Renforcement d'Amitié entre le Mali et le Sénégal ( ARAMS ), la Plateforme de la jeunesse, le Mouvement Y'en a marre, le FRAPP parle « d’une ingérence dans les affaires du Mali ». Ses membres estiment que « cette décision de la CEDEAO ne l’engage nullement pas ».
« Nous avons convoqué cette conférence de presse pour nous adresser à l’opinion publique nationale et internationale par rapport à la situation en cours depuis quelques jours dans le territoire africaine du Mali. Nous sommes préoccupés par la situation qui prévaut au Mali. Et c’est pourquoi avec les autres organisations donner notre point de vue. Nous sommes surtout choqués par les mesures qui ont été prises par la CEDEAO et l’UEMOA contre nos sœurs et nos frères au Mali », martèle Guy Marius Sagna.
Dans son discours, l’activiste de rappeler : « Le 23 janvier prochain, le Sénégal va voter dans le cadre des élections locales. Les conseillés municipaux, les maires qui vont finir leurs mandats ce 23 janvier 2022, ont été élu en 2014, le 29 juin 2014. Leur mandat est fini depuis 2019. Aujourd’hui cela fait 2 ans et 7 mois dans un pays comme le Sénégal ou il n’y a pas la guerre, ou il n’y a pas de partition de territoire, le Président Macky Sall a allongé le mandat des maires, des conseillers municipaux, des conseillers départementaux de 2 ans et demi. Le Président Maky Sall et d’autres Présidents pense que ce n’est pas normal que la transition malienne un pays occupé, en proie au terrorisme, un pays qui doit être réunifié, qui doit être sécurisé, ne fasse pas plus de 2 ans ».
Suffisant pour le panafricaniste de soutenir que rien que cela résume ‘’l’hypocrisie’’ de Macky Sall.
Se voulant plus claire, le coordinateur du FRAPP précise : « Nous ne soutenons pas les coups d’Etats. Nous ne sommes pas forcément d’accord avec les régimes Militaires. Nous souhaitons que ce soit le Mali, la Guinée ou le Tchiad, que l’ordre normal constitutionnel soit ramené. Au Sénégal, nous sommes dans un pays ou le président de la République a fermé les mosquées, et les églises à cause du Coronavirus. Et ce même Président ne peut pas accepter que l’ordre normal soit mis entre parenthèse pendant une durée, le temps que certaines conditions soient réunies ».
Pour Guy Marius Sagna, la CEDEAO et l’UEMOA sont « les sous-traitants de la France dans une entreprise pour punir le Mali et les Maliens ». « Depuis 2012 la CEDEAO dit, elle va activer la force militaire. Si les 14 pays avaient mobilisé 1000 militaires, ce serait 14000 militaires. On n’aura pas eu besoin de l’aide de la France en 2012. La source Militaire qu’ils veulent activer, pourquoi elle n’avait pas été activée en 2012. Pourquoi il ne ferme pas depuis 2012 les frontières aux terroristes ? C’est à la limite de la comédie. Nous pensons qu’il y a une ingérence dans les affaires du Mali. Le Mali, aujourd’hui, a besoin d’être soutenu d’être aidé, d’être conseillé, enrichi, protégé et non d’être menacé, ou d’être victime d’un embargo. Le Frapp France Dégage déclare que ce blocus n’a pas été décidé à leur nom », note Guy Marius Sagna.
« Nous avons convoqué cette conférence de presse pour nous adresser à l’opinion publique nationale et internationale par rapport à la situation en cours depuis quelques jours dans le territoire africaine du Mali. Nous sommes préoccupés par la situation qui prévaut au Mali. Et c’est pourquoi avec les autres organisations donner notre point de vue. Nous sommes surtout choqués par les mesures qui ont été prises par la CEDEAO et l’UEMOA contre nos sœurs et nos frères au Mali », martèle Guy Marius Sagna.
Dans son discours, l’activiste de rappeler : « Le 23 janvier prochain, le Sénégal va voter dans le cadre des élections locales. Les conseillés municipaux, les maires qui vont finir leurs mandats ce 23 janvier 2022, ont été élu en 2014, le 29 juin 2014. Leur mandat est fini depuis 2019. Aujourd’hui cela fait 2 ans et 7 mois dans un pays comme le Sénégal ou il n’y a pas la guerre, ou il n’y a pas de partition de territoire, le Président Macky Sall a allongé le mandat des maires, des conseillers municipaux, des conseillers départementaux de 2 ans et demi. Le Président Maky Sall et d’autres Présidents pense que ce n’est pas normal que la transition malienne un pays occupé, en proie au terrorisme, un pays qui doit être réunifié, qui doit être sécurisé, ne fasse pas plus de 2 ans ».
Suffisant pour le panafricaniste de soutenir que rien que cela résume ‘’l’hypocrisie’’ de Macky Sall.
Se voulant plus claire, le coordinateur du FRAPP précise : « Nous ne soutenons pas les coups d’Etats. Nous ne sommes pas forcément d’accord avec les régimes Militaires. Nous souhaitons que ce soit le Mali, la Guinée ou le Tchiad, que l’ordre normal constitutionnel soit ramené. Au Sénégal, nous sommes dans un pays ou le président de la République a fermé les mosquées, et les églises à cause du Coronavirus. Et ce même Président ne peut pas accepter que l’ordre normal soit mis entre parenthèse pendant une durée, le temps que certaines conditions soient réunies ».
Pour Guy Marius Sagna, la CEDEAO et l’UEMOA sont « les sous-traitants de la France dans une entreprise pour punir le Mali et les Maliens ». « Depuis 2012 la CEDEAO dit, elle va activer la force militaire. Si les 14 pays avaient mobilisé 1000 militaires, ce serait 14000 militaires. On n’aura pas eu besoin de l’aide de la France en 2012. La source Militaire qu’ils veulent activer, pourquoi elle n’avait pas été activée en 2012. Pourquoi il ne ferme pas depuis 2012 les frontières aux terroristes ? C’est à la limite de la comédie. Nous pensons qu’il y a une ingérence dans les affaires du Mali. Le Mali, aujourd’hui, a besoin d’être soutenu d’être aidé, d’être conseillé, enrichi, protégé et non d’être menacé, ou d’être victime d’un embargo. Le Frapp France Dégage déclare que ce blocus n’a pas été décidé à leur nom », note Guy Marius Sagna.
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