L’unité Oncologie du service Pédiatrie de l’Hôpital Aristide Le Dantec reçoit chaque année entre 200 et 250 nouveaux malades, a informé, mercredi, sa cheffe, Docteur Mame Ndella Diouf.
"L’unité reçoit tous les enfants atteints de cancer au Sénégal, c’est la seule unité qui existe dans le pays. On a environ 200 à 250 nouveaux cas par année qui se rajoutent à ceux qui étaient suivis depuis deux à trois ans", a-t-elle dit à l'APS.
Dr Diouf, oncologue-pédiatre, intervenait mercredi lors de la cérémonie de remise de dons de l’association Femme, enfance, éducation (FEE) à l’unité oncologie du service Pédiatrie de l’Hôpital Aristide Le Dantec.
Elle a fait savoir que dans cette unité créée en 2000, "il y a des pathologies dont la prise en charge nécessite plusieurs années".
Selon elle, l’unité est souvent confrontée à des difficultés liées à la prise en charge des médicaments qui sont chers.
"Tous les parents ne peuvent pas honorer le paiement des médicaments prescrits par les médecins pour le traitement du cancer. Ceux qui viennent nous appuyer gratuitement sont les bienvenus", a soutenu Dr Mame Ndella Diouf qui travaille dans cette unité depuis 2009.
Le traitement de cette maladie est long et couteux, selon la responsable, ajoutant que les dons faits à l’unité oncologie sont d’une importance capitale. Les malades viennent de toutes les régions du pays pour se soigner pendant deux à trois ans avant de quitter l’établissement, a-t-elle fait savoir.
"L’unité reçoit tous les enfants atteints de cancer au Sénégal, c’est la seule unité qui existe dans le pays. On a environ 200 à 250 nouveaux cas par année qui se rajoutent à ceux qui étaient suivis depuis deux à trois ans", a-t-elle dit à l'APS.
Dr Diouf, oncologue-pédiatre, intervenait mercredi lors de la cérémonie de remise de dons de l’association Femme, enfance, éducation (FEE) à l’unité oncologie du service Pédiatrie de l’Hôpital Aristide Le Dantec.
Elle a fait savoir que dans cette unité créée en 2000, "il y a des pathologies dont la prise en charge nécessite plusieurs années".
Selon elle, l’unité est souvent confrontée à des difficultés liées à la prise en charge des médicaments qui sont chers.
"Tous les parents ne peuvent pas honorer le paiement des médicaments prescrits par les médecins pour le traitement du cancer. Ceux qui viennent nous appuyer gratuitement sont les bienvenus", a soutenu Dr Mame Ndella Diouf qui travaille dans cette unité depuis 2009.
Le traitement de cette maladie est long et couteux, selon la responsable, ajoutant que les dons faits à l’unité oncologie sont d’une importance capitale. Les malades viennent de toutes les régions du pays pour se soigner pendant deux à trois ans avant de quitter l’établissement, a-t-elle fait savoir.
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