La baie de Hann va dans les prochains jours subir une cure de jouvence. Un financement a été obtenu à cet effet. L’Agence Française de Développement (AFD) et la Banque Européenne de l’Investissement (BEI) ont accordé à l’Etat du Sénégal un prêt de 50 millions d’euros soit 33 milliards de nos francs. L’objectif de ce financement est la restauration durable de la qualité des eaux de la baie de Hann.
En effet la baie de Hann est polluée par les déchets des usines installées le long de la baie mais aussi par ceux qui proviennent des maisons environnantes. Le ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, Abdoulaye Diop est d’avis que «les pollueurs devront contribuer à la maintenance des ouvrages qui seront réalisés».
L’argentier de l’Etat du Sénégal a révélé que «le financement du projet entre dans le cadre du Programme Eau Potable et Assainissement du Millénaire (PEPAM)». Il permet, selon lui, à l’Office Nationale de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) dans le cadre de ses missions de faire retrouver à la baie de Hann son lustre d’antan.
Selon son homologue sénégalais en charge de l’Environnement et de la Protection de la Nature, des bassins de retentions et des lacs artificiels, Djibo Laïty Ka a assuré que «l’Etat du Sénégal va appliquer le protocole de Kyoto, à savoir POLLUEUR=PAYEUR ».
L’Ambassadeur de la France au Sénégal, Jean Christophe Rufin a estimé que «cette pollution de la baie de Hann a des conséquences extrêmes sur la population riveraine». Pour le diplomate français, «l’insalubrité de la baie de Hann favorise le développement de maladies infectieuses chez les populations locales». Jean Christophe Rufin a, dans le même régisse, fait savoir que «cet appui contribuera à l’amélioration de la performance opérationnelle et financière de l’Office Nationale de l’Assainissement (ONAS).
Les bailleurs (AFD et BEI) ont souligné que «le projet permettra de traiter 95% de la pollution bactérienne. Outre la dépollution industrielle, le projet prévoit le raccordement de 20.000 personnes à un réseau d’eaux usées. Ce qui permettra l’amélioration des conditions de vie de 55000 personnes à l’horizon 2015».
En effet la baie de Hann est polluée par les déchets des usines installées le long de la baie mais aussi par ceux qui proviennent des maisons environnantes. Le ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, Abdoulaye Diop est d’avis que «les pollueurs devront contribuer à la maintenance des ouvrages qui seront réalisés».
L’argentier de l’Etat du Sénégal a révélé que «le financement du projet entre dans le cadre du Programme Eau Potable et Assainissement du Millénaire (PEPAM)». Il permet, selon lui, à l’Office Nationale de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) dans le cadre de ses missions de faire retrouver à la baie de Hann son lustre d’antan.
Selon son homologue sénégalais en charge de l’Environnement et de la Protection de la Nature, des bassins de retentions et des lacs artificiels, Djibo Laïty Ka a assuré que «l’Etat du Sénégal va appliquer le protocole de Kyoto, à savoir POLLUEUR=PAYEUR ».
L’Ambassadeur de la France au Sénégal, Jean Christophe Rufin a estimé que «cette pollution de la baie de Hann a des conséquences extrêmes sur la population riveraine». Pour le diplomate français, «l’insalubrité de la baie de Hann favorise le développement de maladies infectieuses chez les populations locales». Jean Christophe Rufin a, dans le même régisse, fait savoir que «cet appui contribuera à l’amélioration de la performance opérationnelle et financière de l’Office Nationale de l’Assainissement (ONAS).
Les bailleurs (AFD et BEI) ont souligné que «le projet permettra de traiter 95% de la pollution bactérienne. Outre la dépollution industrielle, le projet prévoit le raccordement de 20.000 personnes à un réseau d’eaux usées. Ce qui permettra l’amélioration des conditions de vie de 55000 personnes à l’horizon 2015».
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