Enfin, les résultats des élections municipales tombent à Tambacounda, après près de trois jours de conclave au sein de la commission départementale de recensement des votes. Avec 3914 voix contre 3708 pour le maire sortant du reste secrétaire général du parti socialiste authentique, les « sopistes » se retrouvent majoritaire avec 42 conseillers pour seulement 9 élus pour leurs suivants immédiats. Les deux sont suivis par la coalition « Benno Siggil Sénégal » qui comptabilise 1984 voix et gagne 5 sièges, et « Sunu Psds » qui totalise 1606 voix lui donnant droit à 4 sièges. « And Ligèye Sénégal », « Dekkal Ngor », le Mrds, le PR, Fsd/Bj et le Psd/Jant bi se retrouvent chacun avec 1 siège.
La Coalition Sopi jubile, le PSA crie hold up
Depuis 16 h 30 déjà le jour du scrutin même, certains responsables de la coalition « Sopi » rencontrés au centre Jean 23 criaient à la victoire sans que l’on ne comprenne trop sur quoi ils s’étaient fondés pour avancer de tels propos. Le lendemain dès 6 h du matin, des coups de klaxons réveillaient les Tambacoundois, les militants de la coalition « Sopi » jubilaient. Une heure plus tard, ceux du Psa aussi portaient la réplique en tenant une caravane sonore à travers les principales artères de la ville.
Chaque partie criait victoire. Des analystes politiques, à la suite des observations fournies par les responsables du Psa, posent un faisceau de questions pour dire comment est ce qu’il est possible que tous les ténors de la coalition « Sopi » , à l’exception du député Djiby Cissé qui n’est pas du tout investi et Oury Bâ, soient battus dans leurs centres et bureaux respectifs, et que cette liste triomphe.
Le parti socialiste authentique sort un communiqué de presse et parle de « main invisible » avant de s’étonner que « le scrutin se prolonge spécialement au centre de Quinzambougou jusqu’au-delà de 23 h, et que les résultats officiels ne soient publiés que quelques soixante douze heures après ». Il y eut de l’électricité dans l’air, le gouverneur réquisitionne les forces de l’ordre, parce qu’il y aurait des menaces venant des partisans de Souty Touré qui voudraient s’en prendre à la gouvernance du fait qu’il arguent que les choses seraient tripatouillées avec la complicité du chef de l’exécutif régional, ainsi qu’au tribunal.
Un comportement interprété du côté des socialistes authentiques comme étant « un aveu de complicité de l’administration « qui ne dit pas son nom. Les responsables du parti socialiste authentique soutiendront formuler des recours, parce que pertinemment convaincus que « leur victoire » leur a été chipé. Pendant ce temps, du côté de la coalition »Sopi », l’on jubilait pour dire avoir mis un terme à « un règne sans partage qui n’a pu sortir les populations laborieuses de leur galère ».
Le conseil régional aussi est remporté par la coalition « Sopi », maintenant tous les regards sont tournés vers l’installation officielle des différents bureaux pour laquelle il y aura du fil à retordre.
La Coalition Sopi jubile, le PSA crie hold up
Depuis 16 h 30 déjà le jour du scrutin même, certains responsables de la coalition « Sopi » rencontrés au centre Jean 23 criaient à la victoire sans que l’on ne comprenne trop sur quoi ils s’étaient fondés pour avancer de tels propos. Le lendemain dès 6 h du matin, des coups de klaxons réveillaient les Tambacoundois, les militants de la coalition « Sopi » jubilaient. Une heure plus tard, ceux du Psa aussi portaient la réplique en tenant une caravane sonore à travers les principales artères de la ville.
Chaque partie criait victoire. Des analystes politiques, à la suite des observations fournies par les responsables du Psa, posent un faisceau de questions pour dire comment est ce qu’il est possible que tous les ténors de la coalition « Sopi » , à l’exception du député Djiby Cissé qui n’est pas du tout investi et Oury Bâ, soient battus dans leurs centres et bureaux respectifs, et que cette liste triomphe.
Le parti socialiste authentique sort un communiqué de presse et parle de « main invisible » avant de s’étonner que « le scrutin se prolonge spécialement au centre de Quinzambougou jusqu’au-delà de 23 h, et que les résultats officiels ne soient publiés que quelques soixante douze heures après ». Il y eut de l’électricité dans l’air, le gouverneur réquisitionne les forces de l’ordre, parce qu’il y aurait des menaces venant des partisans de Souty Touré qui voudraient s’en prendre à la gouvernance du fait qu’il arguent que les choses seraient tripatouillées avec la complicité du chef de l’exécutif régional, ainsi qu’au tribunal.
Un comportement interprété du côté des socialistes authentiques comme étant « un aveu de complicité de l’administration « qui ne dit pas son nom. Les responsables du parti socialiste authentique soutiendront formuler des recours, parce que pertinemment convaincus que « leur victoire » leur a été chipé. Pendant ce temps, du côté de la coalition »Sopi », l’on jubilait pour dire avoir mis un terme à « un règne sans partage qui n’a pu sortir les populations laborieuses de leur galère ».
Le conseil régional aussi est remporté par la coalition « Sopi », maintenant tous les regards sont tournés vers l’installation officielle des différents bureaux pour laquelle il y aura du fil à retordre.
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