C’est à l’occasion de la réunion du Conseil des ministres de ce jeudi 26 mars que le président de la République, Abdoulaye Wade a demandé à son gouvernement de renoncer au projet d’immeubles initialement prévu sur le site du stade Assane Diouf. Il a, à cet effet, donné des instructions pour la reconstruction de l’enceinte sportive en vue de lui restituer sa fonction de lieu de sport pour la jeunesse.
Pour rappel, la tribune de ce stade a été démolie dans la nuit du 24 au 25 février 2008 en plein Magal de Touba. Ce qui avait aussitôt suscité l’ire des populations riveraines, des certaines organisations de la société civile et d’éminents sportifs sénégalais. Ces derniers ont, ainsi, initié des manifestations et des rencontres avec la presse avant finalement de mettre sur pied le Collectif René Sanchez pour la sauvegarde et la réhabilitation du stade Assane Diouf.
Le point culminant de la grogne des membres de collectif a été le sit-in du 21 février dernier à un mois des élections. Cette manifestation à laquelle avait pris part la Coalition Bennoo Siggil Senegaal avait été sévèrement réprimée. Le leader de la Fédération des écologistes du Sénégal, Aly Haïdar avait été blessé par balle (en caoutchouc) et huit militants de l’opposition y compris l’avocat, Me Birame Sassoum Sy ont été arrêtés par la police. Le conseil de l’ordre des avocats était sorti de ses gongs.
Certainement, la menace de vote sanction des membres de ce collectif a fait mouche parce que la Coalition Sopi a lamentablement perdu les élections lors du scrutin local.
Pour rappel, la tribune de ce stade a été démolie dans la nuit du 24 au 25 février 2008 en plein Magal de Touba. Ce qui avait aussitôt suscité l’ire des populations riveraines, des certaines organisations de la société civile et d’éminents sportifs sénégalais. Ces derniers ont, ainsi, initié des manifestations et des rencontres avec la presse avant finalement de mettre sur pied le Collectif René Sanchez pour la sauvegarde et la réhabilitation du stade Assane Diouf.
Le point culminant de la grogne des membres de collectif a été le sit-in du 21 février dernier à un mois des élections. Cette manifestation à laquelle avait pris part la Coalition Bennoo Siggil Senegaal avait été sévèrement réprimée. Le leader de la Fédération des écologistes du Sénégal, Aly Haïdar avait été blessé par balle (en caoutchouc) et huit militants de l’opposition y compris l’avocat, Me Birame Sassoum Sy ont été arrêtés par la police. Le conseil de l’ordre des avocats était sorti de ses gongs.
Certainement, la menace de vote sanction des membres de ce collectif a fait mouche parce que la Coalition Sopi a lamentablement perdu les élections lors du scrutin local.
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