«J’ai été intercédé de force par deux groupes de personnes, à gauche et à droite avec des hués. Ils sont venus me tenailler, j’ai rebroussé chemin. Je connais les tentatives. Je suis le énième directeur qui a été séquestré ici. J’ai dit au policier d’aviser la sécurité», s’est défendu le directeur de l’hôpital Abass Ndaw, Mourade Dièye Gueye. Il a ajouté que «c’est Saliou Djigueul qui a forcé la porte de mon bureau et puisque c’est mon espace privé de travail, j’ai fermé la porte. Je ne peux pas recevoir plus de quinze personnes dans mon bureau ».
Il a, toutefois, assuré que les salaires du mois de décembre vont être payés avant la fin du mois de janvier. Revenant sur la bagarre, il a soutenu que le représentant des syndicalistes a tenté de l’empoigner en se servant de sa cravate. «Il a tiré ma cravate en la serrant au tour de mon coup. Il m’a attaqué et j’ai riposté. Je l’ai maitrisé et aussitôt.et il me supplia de le lâcher en disant :au nom de Serigne Touba, tu es en train de me blesser. Alors, j’ai cédé et je lui ai offert de l’eau à boire. Je suis un responsable mais, il fallait que je lui fasse comprendre qu’il a affaire à un homme».
Par ailleurs, Mourade Diéye Guèye a indiqué qu’il y a «des travailleurs qui ont toujours tenté de déstabiliser l’hôpital, de créer une situation de non travail, de non production. C’est une tentative de sabotage». L’administrateur de Abass Ndaw persiste et signe : «l’hôpital dispose du matériel nécessaire pour le travail. Il y a deux mois une convention a été signée par le Sutsas, le Ministre de la santé, le maire sénateur et le directeur pour l’apport en moyens supplémentaires. Ces moyens sont mis en place depuis très longtemps. Il y a des gens qui ont pour unique but de bloquer le fonctionnement de l’hôpital» a-t-il martelé.
La CNTS (Confédération Nationale des Travailleurs de la Santé), la CSA (Confédération des Syndicats Autonomes) ont été respectivement représentées par Amadou Khouma et Mamadou Doumbia. Ce dernier a fini par bouder les négociations parce que, s’est-il insurgé, «nous ne pouvons pas discuter avec un directeur qui agresse son travailleur dans son bureau fermé à clé».
Au finish les syndicalistes de Abass Ndao ont été calmés par Amadou Khouma et ses camarades de la CNTS. Ils ont demandé aux travailleurs de l’hôpital de reprendre service en attendant qu’une solution soit trouvée.
Il a, toutefois, assuré que les salaires du mois de décembre vont être payés avant la fin du mois de janvier. Revenant sur la bagarre, il a soutenu que le représentant des syndicalistes a tenté de l’empoigner en se servant de sa cravate. «Il a tiré ma cravate en la serrant au tour de mon coup. Il m’a attaqué et j’ai riposté. Je l’ai maitrisé et aussitôt.et il me supplia de le lâcher en disant :au nom de Serigne Touba, tu es en train de me blesser. Alors, j’ai cédé et je lui ai offert de l’eau à boire. Je suis un responsable mais, il fallait que je lui fasse comprendre qu’il a affaire à un homme».
Par ailleurs, Mourade Diéye Guèye a indiqué qu’il y a «des travailleurs qui ont toujours tenté de déstabiliser l’hôpital, de créer une situation de non travail, de non production. C’est une tentative de sabotage». L’administrateur de Abass Ndaw persiste et signe : «l’hôpital dispose du matériel nécessaire pour le travail. Il y a deux mois une convention a été signée par le Sutsas, le Ministre de la santé, le maire sénateur et le directeur pour l’apport en moyens supplémentaires. Ces moyens sont mis en place depuis très longtemps. Il y a des gens qui ont pour unique but de bloquer le fonctionnement de l’hôpital» a-t-il martelé.
La CNTS (Confédération Nationale des Travailleurs de la Santé), la CSA (Confédération des Syndicats Autonomes) ont été respectivement représentées par Amadou Khouma et Mamadou Doumbia. Ce dernier a fini par bouder les négociations parce que, s’est-il insurgé, «nous ne pouvons pas discuter avec un directeur qui agresse son travailleur dans son bureau fermé à clé».
Au finish les syndicalistes de Abass Ndao ont été calmés par Amadou Khouma et ses camarades de la CNTS. Ils ont demandé aux travailleurs de l’hôpital de reprendre service en attendant qu’une solution soit trouvée.
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