Siège du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) au pouvoir
« Les opérations de placement et de vente des cartes vont démarrer dans les 13 régions du Sénégal les 27 et 28 décembre » a indiqué Ousmane Masseck Ndiaye, directeur des structures du PDS. Ensuite il va s’en suivre l’installation des secteurs, des sections, l’animation du parti pour enfin organiser le congrès du parti.
Ce processus est plus que important a soutenu le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales puisqu’ « il permet de massifier le parti dans la perspective des élections locales de mars 2009 ». Dans la dynamique de la massification du parti, le directeur des structures du PDS a appelé ses frères et sœurs libéraux «à l’ouverture et à la modernité, à ne faire aucune différence entre militants de la première heure et ceux qui viennent de rejoindre la famille libérale dans le combat pour un Sénégal émergent». Il a soutenu que : « la légitimité historique s’accommode bien de la légitimité populaire dans le Très Grand Parti (TGP) » faisant allusion au PDS.
S’agissant des querelles de leadership qui alimentent les débats dans la banlieue (Pikine), Ousmane Masseck Ndiaye qui semble les minimiser l’explique par une incompréhension de part et d’autre. « C’est une confusion. Certains pensent qu’en désignant un commissaire ou un superviseur, on désigne en même temps la tête de liste ou le candidat à la mairie». Pour rappel, à Pikine Aminata Lô Dieng s’est opposée à la désignation du maire de la ville Daour Niang Ndiaye pour la direction de la commission électorale de Pikine. Des querelles de tendances entre ces deux libéraux ou leurs partisans ont fini par devenir un secret de polichinelle dans le département de Pikine.
Dans la perspective des élections locales, les départs des frustrés du PDS semble être loin d’inquiéter les libéraux parce que « à chaque fois que quelqu’un quitte le parti, un autre vient agrandir les rangs du PDS» souligne le directeur des structures. Toutefois, poursuit-il, le PDS est en train de réfléchir sur les mesures à prendre pour ces militants. Il s’agit particulièrement de Moustapha Cissé Lô et Abdourahmane Sow. Car, précise le directeur des structures du parti au pouvoir, si on démissionne d’un parti on doit aussi quitter tous les postes obtenus au nom du parti.
Ce processus est plus que important a soutenu le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales puisqu’ « il permet de massifier le parti dans la perspective des élections locales de mars 2009 ». Dans la dynamique de la massification du parti, le directeur des structures du PDS a appelé ses frères et sœurs libéraux «à l’ouverture et à la modernité, à ne faire aucune différence entre militants de la première heure et ceux qui viennent de rejoindre la famille libérale dans le combat pour un Sénégal émergent». Il a soutenu que : « la légitimité historique s’accommode bien de la légitimité populaire dans le Très Grand Parti (TGP) » faisant allusion au PDS.
S’agissant des querelles de leadership qui alimentent les débats dans la banlieue (Pikine), Ousmane Masseck Ndiaye qui semble les minimiser l’explique par une incompréhension de part et d’autre. « C’est une confusion. Certains pensent qu’en désignant un commissaire ou un superviseur, on désigne en même temps la tête de liste ou le candidat à la mairie». Pour rappel, à Pikine Aminata Lô Dieng s’est opposée à la désignation du maire de la ville Daour Niang Ndiaye pour la direction de la commission électorale de Pikine. Des querelles de tendances entre ces deux libéraux ou leurs partisans ont fini par devenir un secret de polichinelle dans le département de Pikine.
Dans la perspective des élections locales, les départs des frustrés du PDS semble être loin d’inquiéter les libéraux parce que « à chaque fois que quelqu’un quitte le parti, un autre vient agrandir les rangs du PDS» souligne le directeur des structures. Toutefois, poursuit-il, le PDS est en train de réfléchir sur les mesures à prendre pour ces militants. Il s’agit particulièrement de Moustapha Cissé Lô et Abdourahmane Sow. Car, précise le directeur des structures du parti au pouvoir, si on démissionne d’un parti on doit aussi quitter tous les postes obtenus au nom du parti.
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